Derrière Obama, le retour de Brzezinski aux commandes de la politique étrangère américaine, mais avec MOSSAD/CIA travaillant mains dans la main....
En juillet 2007, B. Obama était invité sur la chaîne américaine CNN.
Interrogé sur la question des sanctions américaines à l’encontre de
l’Iran, il a répondu : « Il n’y a aucun doute que nous sommes témoins
d’une aggravation des tensions dans cette région. Et c’est en partie
pourquoi il est si important pour nous d’avoir une politique cohérente
et respectueuse vis-à-vis de l’Iran »…
Obama a également ajouté que l’Iran devait « être frappé de
sanctions économiques dans le cadre d’une diplomatie directe », car il
serait temps pour les Etats-Unis de jouer de nouveau un rôle
diplomatique central par rapport à l’Iran.
En réalité, comme nous l’avons déjà expliqué, B. Obama traduisait aux
Américains ce que lui enseignait Z. Brzezinski, le véritable maître
d’œuvre de la diplomatie américaine contemporaine ; Brzezinski est
également l’employé des Rockefeller.
Dans les années soixante-dix, c’est Brzezinski qui était allé chercher
un petit sénateur sans envergure et totalement inconnu à l’époque, Jimmy
Carter
1. Avec le concours de la Haute finance new-yorkaise ainsi que celui du
Groupe Bilderberg, les Rockefeller ont propulsé Carter à la
Maison-Blanche.
De Carter à Obama il n’y a qu’un pas !
Par l’intermédiaire du président J. Carter, Brzezinski a pu mettre en
œuvre une politique étrangère adéquate, assurant la suprématie des
Etats-Unis dans le monde et tout particulièrement en Eurasie. Cette
politique étrangère fut fondée sur l’alliance entre l’Amérique
et l’islam révolutionnaire.
N’oublions pas que Brzezinski est l’auteur du projet Arc de crise
d’où sont nés les Talibans et le régime des mollahs.
Si aujourd’hui des forces obscures ont placé simultanément
Brzezinski aux basques d’Obama et Kissinger à celles de McCain,
il faut bien y voir une logique propre à ce pouvoir occulte qui
n’agit que par « procuration ».
Point commun entre Brzezinski et Kissinger : exiger un retour à la
table de négociations avec les mollahs.
Une ligne convergente avec le point de vue de la direction du
Council on Foreign Relations (CFR), l’organisme qui planche sans cesse
sur les futures orientations de la politique étrangère américaine.
En novembre 2008, le CF a organisé plusieurs grandes conférences où
étaient invités des journalistes œuvrant au façonnage des psychologies
de masse.
On a expliqué à ces derniers les futures orientations de la diplomatie
américaine.
Un correspondant iranien a signalé la présence d’un faux journaliste
iranien accompagné du directeur du Centre des Etudes de l’Université de
New York !
Le 3 décembre 2008, une importante conférence publique a été tenu à
l’Université de New York.
Objectif : employer les étudiants au grand dessein géopolitique du
cartel bancaire.
Comme on a pu le constater lors des dernières élections
présidentielles américaines, ces étudiants savent fort bien se
servir d’Internet comme d’outil de propagande.
Le CFR veut même aider les Européens à comprendre la future politique
étrangère de la présidence Obama.
C’est ainsi que la correspondante du journal Le Monde à Washington a
expliqué de long en large ce que les experts du CFR lui ont confié
des subtilités du dossier iranien.
La journaliste C. Lesne a ainsi offert les colonnes du Monde à deux
Iraniens et trois Américains issus du Counci on Foreign Relations sans
à aucun moment évoque les carrières de chacun ou certains écrits bien
compromettants.
Rappelons qu’en 2004, D. Ignatius révélait dans le Washington Post que
Brzezinski participait aux côtés de Kissinger à des réunions avec
Jean-Louis Gergorin pour encourager J. Chirac à maintenir le dialogue
avec Téhéran.
Pour Brzezinski, l’Iran est la clé du Moyen-Orient, de l’Asie centrale
et le point d’accès aux territoires de la Russie, de la Chine, de
l’Afghanistan et de toute l’Eurasie.
Sur l’échiquier de cette région, l’Iran est un pion vital pou le
contrôle de la Russi et de la Chine.
Or, rappelons que Brzezinski a toujours prédit la suprématie inévitable
de la Chin sur les Etats-Unis.
Comme le monde, selon lui, glisse vers l’Est, il faut impérativement
contenir la croissance chinoise.
De ce point de vue, une grave crise économique arrange les choses à la
condition que les Etats-Unis puissent rester maître du prochain jeu
monétaire, ce qui est loin d’être évident.
Il n’est donc pas surprenant que B. Obama ait, depuis des mois, calqué
ses discours sur la stratégie de son mentor !
En novembre 2007, B. Obama avait dit que s’il était élu, il
reprendrait l dialogue avec Téhéran.
D’aucuns répondront que la nomination de nombreux juifs dans son
administration contrecarrent cette donne.
C’est faux, car la plupart de ces nominés à intégrer la future
administration d’Obama sont essentiellement des Khazars, par
conséquent de faux juifs, comme la plupart des sionistes.
Ainsi convient-il de ne pas se leurrer sur le plan qui se joue en
profondeur.
Comment donc utiliser l’Iran face à la Chine ?
Par l’Iran, il est possible de déstabiliser les provinces musulmanes du
sud de l’ex-URSS et de l’est de la Chine.
La création des Talibans et la révolution islamique d’Iran étaient les
deux épicentres du projet.
Contrairement à ce que l’on pense, les Talibans ne sont pas une
résultante de l’invasion de l’Afghanistan mais le contraire.
Le pouvoir en place avant l’invasion était déjà pro-soviétique.
Par la suite, dans un entretien accordé en 1998 au Nouvel Observateur,
Brzezinski a reconnu que, dès le 3 juillet 1979, selon sa
recommandation, le président Carter avait signé la première directivesur
l’assistance clandestine, par la CIA, aux opposants du régime
pro-soviétique de Kaboul.
Mais Brzezinski avait préparé le terrain pour que les agents de la CIA
puissent intervenir sur place.
Cette préparation avait consisté à renverser Zulfaqar Ali Bhutto, en
1977 au Pakistan, un an après l’arrivée au pouvoir de l’équipe
Carter-Brzezinski. Bhutto fut remplacé par Zia ul Haq, un général
islamiste qui se mit totalement au service du projet américain
d’islamisation de la région.
Simultanément, les Américains commencèrent une campagne de
déstabilisation contre le Chah d’Iran, pour éliminer le principal
facteur de la stabilité de la région, mais aussi un régime qui, sous son
impulsion, était en train d’éradiquer le pouvoir de l’islam en
Iran et de s’émanciper de sa dépendance envers l’Amérique et ses
pétroliers.
Il existe donc une continuité de politique entre Carter et Obama et le
lien commun s’appelle Z. Brzezinski.
Négocier avec les mollahs pour un accord, voilà ce que cache cette
phrase célèbre d’Obama : « Oui, nous pouvons réparer le monde ».
Une signification diamétralement opposée à l’analyse des experts de la
presse ambiante.
Ajoutons que l’industrie pétrolière, soutien jusque-là de la
clique néo-conservatrice, est très intéressée par les fruits d’un
tel dialogue.
D’ailleurs, sitôt B. Obama élu, les choses n’ont pas traîné.
En effet, dans la semaine qui suivit, le Washington Post écrivait
: les conseillers à la sécurité nationale de B. Obama lui suggèrent
d’envisager une approche plus régionale au sujet de l’Afghanistan,
c’est-à-dire d’éventuelles discussions avec les mollahs.
Le New York Times rapporte également une démarche similaire au sujet de
l’Irak. Traduction : la future administration Obama a immédiatement
choisi d’adresser à Téhéran, sous la forme d’allusions indirectes, via
des conseillers anonymes et la presse, des signaux en vue de
négociations « en direct ».
Quarante-huit heures après l’annonce de la victoire d’Obama, Saïd
Leylaz, ex-n°2 des services secrets du régime iranien, exprimait la
pensée de Rafsandjani, le patron occulte du régime dont il est
officieusement le porte-parole. « Si Obama met en œuvre ce qu’il a
promis [l’ouverture du dialogue avec Téhéran], cela va affaiblir les
radicaux en Iran et les slogans durs et extrémistes ne trouveront plus
preneurs…
Cela va aussi affecter le dossier nucléaire iranien car la ligne
rouge pour le pouvoir n’est pas le nucléaire, mais la sécurité [de
l’Iran] et avec l’ouverture d’un dialogue, on lui assure cette sécurité ».
Selon le porte-parole officieux du régime, l’ouverture d’un dialogue
avec Washington se traduirait par la fin de la crise nucléaire ; cela
signifierait la reconnaissance officielle du rôle régional des mollahs.
La même offre avait été faite à Bush en 2003.
Le monde opaque de la diplomatie
Alors que la mésentente entre Dominique de Villepin et Nicolas Sarkozy
(1)est officiellement exprimée au grand jour avec l’affaire Clearstream,
une autre actualité en dit long sur les changements qui s’esquissent sur
le front de l’Iran par rapport à l’Occident.
Le 19 novembre 2008, les mollahs ont organisé à Téhéran la première
rencontre internationale des maires des grandes villes d’Asie, en
présence du maire de Téhéran et du président iranien.
Curieusement, D. de Villepin se trouvait présent, bien que n’ayant
jamais été un élu parisien.
Il est de notoriété publique que l’ancien premier ministre français est
un fervent partisan d’une reconnaissance du rôle régional des mollahs,
c’est-à-dire de leur droit d’ingérence au Liban et dans les affaires
palestiniennes.
Après s’être exprimé à une tribune qui lui a été accordée par le maire
de Téhéran, membre de la milice qui a tué des soldats français au Liban,
D. de Villepin a rencontré le président iranien.
Il lui a signifié qu’il venait en émissaire spécial, non pas de la Ville
de Paris, mais du Président de la république Nicolas Sarkozy !
Il a précisé que le président français souhaitait voir le régime des
mollahs jouer un rôle aussi bien au Moyen-Orient que dans d’autres
affaires internationales.
Il va de soi que cette manœuvre s’est exécutée avec la bénédiction du
CFR et de Z. Brzezinski.
Depuis le 4 novembre 2008, il ne se passe pratiquement pas de
jour sans que les mollahs ne reçoivent un émissaire de Washington.
Tout cela ne change strictement rien à l’analyse faite par notre
rédaction depuis le début, bien au contraire.
Les diplomates iraniens vont chercher à gagner du temps.
Pour tempérer l’irritabilité des Américains voulant des réponses
immédiates, ils ont besoin des relations européennes pour faire durer
les négociations.
Contre vents et marées, LIESI a su déceler cette tournure des événements
et s’y est accroché.
Il est vrai que Brzezinski n’est pas un inconnu de notre rédaction !
Cela fait des mois que les négociations sont en route et que les «
néo-con » sont réduits à l’immobilisme par le CFR et les familles qui le
dirigent officieusement.
C’est ainsi que, au cours de l’été 2008, l’Iran a acheté une grande
quantité (plus d’un million de tonnes) de blé en provenance… des
Etats-Unis.
C. Mayer commente ainsi cette information : « C’est un peu comme si Lee
avait demandé à Grant de partager quelques rations au cours de l’été
1863 [guerre de Sécession] ».
Consternation en Israël
Dans le même temps, le général Amos Yadlin, le chef des services du
renseignement militaire israélien, a tenu un discours à l’université de
Tel-Aviv affirmant qu’Israël était désormais prêt à des négociations
directes entre les Etats-Unis et l’Iran.
Du point de vue des dirigeants israéliens, ce n’est pas tant l’arrivée
de B. Obama à la Maison-Blanche qui suscite de nombreuses
interrogations, mais ce que représentent les « hommes du président ».
Autour d’Obama, il y a un organigramme tentaculaire composé d’une
myriade d’individus pouvant s’écarter considérablement de la politique
étrangère de l’administration Bush, notamment sur le Proche-Orient.
Ces dernières années, le Parti démocrate a subi une transformation sous
l’influence de son aile gauche radicale.
Il faut savoir que les universités américaines sont devenues un vivier
de la contestation de la traditionnelle politique pro-israélienne
des différentes administrations américaines. « Des accusations de
‘‘conspiration juive’’ ou ‘‘d’influence juive néfaste’’ ont été lancées
par des milieux intellectuels de la gauche démocrate à propos de trois
faits marquants de l’ère Bush : les attentats du 11 septembre, l’entrée
en guerre en Irak et la crise financière actuelle »(1).
Dans son précédent numéro, LIESI a démontré que B. Obama était le
personnage politique américain ayant établit un « pont » entre les
hommes d’influence de la City et ceux de Wall Street.
Ajoutons que B. Obama a été le sénateur situé le plus à gauche de tous
les temps.
Il y a dix ans encore, il faisait partie du « New Party », aile
activiste d’extrême-gauche du Parti démocrate.
S’agissant du Proche-Orient, les « spécialistes » écoutés par B. Obama
ont pour point commun et idée fixe « qu’Israël est le nœud du problème,
et que seules des concessions israéliennes radicales règleront le
conflit centenaire qui y règne » (2)
Ils ont pour nom Robert Malley, Zbignew Brzezinski ou encore Samantha
Powers.
Cette dernière, candidate à un poste dans l’influent Conseil National de
Sécurité, s’est dite « sur la même longueur d’onde que les auteurs du
livre sur le lobby pro-israélien » !
Or, dans le numéro 171, LIESI n’a t-il pas évoqué le rôle de S. Powers
pour démontrer le rapport discret existant entre Obama et le cartel
anglo-hollandais de la City ?
Comme nous l’avons dit à maintes reprises ici ou là et depuis plusieurs
années, la prochaine guerre mondiale sera déclenchée au Proche-Orient et
Israël sera très probablement abandonné par la clique de financiers
khazars, à l’origine même de sa création !
L’arrivée d’Obama à la Maison avec l’organigramme tentaculaire qui suit
dans son sillage est, selon nous,la preuve irréfragable que nous entrons
désormais dans une logique de GUERRE MONDIALE.
Le cartel bancaire place ses dynamites dans l’éventualité d’un échec
retentissant de sa prochaine réforme monétaire supranationale.
Sur ce point, LIESI a déjà affirmé qu’il y aurait un échec et par,
conséquent, la guerre comme alternative.
Le groupe Rothschild appliquera exactement le même scénario qu’au début
du XX° siècle, lors de l’effondrement de la City.
Selon la logique mise en avant par LIESI et ce que nous répétons depuis
de nombreux mois, l’arrivée du Likoud au pouvoir en Israël devrait être
pour bientôt
Aussi faudra t-il suivre avec attention les prochaines élections
israéliennes.
Elles devraient être favorables au leader du Parti du Likoud, B.
Netanyahou.
Dans une enquête menée mi-novembre 2008 par l’institut Dahaf du docteur
Mina Tsemah, dont les résultats ont été publiés dans le Yedioth
Aharonoth, il s’avère que le Likoud est pour le moment largement en tête
avec 32 sièges, alors que Kadima n’est crédité que de 26 mandats.
Quant au Parti travailliste, c’est la débâcle : il ne recevrait en effet
que 8 sièges à la Knesset.
Certains commentateurs prétendent déjà que ce regain de popularité est
dû à l’entrée au Likoud de politiciens de valeur, tels que Benny Begin,
Dan Méridor, Moché Yaalon ou Assaf Hefetz.
Mais il ne faut pas oublier que cela fait un certain temps que B.
Netanyahou est devenu pratiquement le favori des sondages, à quelques
exceptions près.
En outre, l’opération de déstabilisation du Premier ministre
E.Olmert,impliqué dans de nombreuses affaires de corruption, correspond
parfaitement à une accélération du calendrier du « Comité X ».
Sans la médiatisation de ces scandales, il n’y aurait pas d’élections
ANTICIPEES.
Les affaires concernant E. Olmert tombent à point nommé pour les
puissances qui ont intérêt à mettre en œuvre les éléments nécessaires
à l’enclenchement d’une guerre mondiale, en cas d’échec de la réforme
monétaire prévue entre fin 2010 et 2011, du moins selon nos sources.
Ce qui arrive à E. Olmert confirme ce qu’un haut initié nous avait
confié, il y a près de trente ans : « Tous les politiciens poussés à
des postes importants ont des cadavres dans leur placard afin de
permettre leur lynchage du jour au lendemain si cela nous arrange ».
Dans le cas présent, une démission rapide d’E. Olmert doit permettre au
Parti Kadima de mieux se préparer aux élections à venir. En réalité, E.
Olmert agit pour sabrer son propre parti.
Pour information, B. Netanyahou appartient à un réseau dirigé par George
Schultz, un employé du cartel bancaire qui a joué un rôle considérable
dans la constitution des deux administrations Bush/Cheney.
G. Schultz n’est pas un sioniste, c’est un simple employé du groupe
anglo-hollandais.
En 1996, c’est G. Schultz qui commanda à B. Netanyahou d’adopter la
doctrine A Clean Break : New Strategy for Security in the Realm.
Cinq ans plus tard, cette doctrine fut mise en œuvre avec l’arrivée au
pouvoir de George Bush Junior. Netanyahou jouit également du soutien du
Mouvement chrétien sioniste aux Etats-Unis, qui lève des millions de
dollars de dons en faveur d’Israël.
Selon leur interprétation de la Bible, l’existence de l’Etat d’Israël
est un préalable à l’Armageddon et au « ravissement » des vrais croyants.
Parmi les extrémistes du Likoud, on remarque la présence de Moshe FeiGlin.
En 1993, ce dernier fonda le mouvement « Notre Terre » pour protester
contre les Accords d’Oslo, ce qui contribua à créer une ambiance propice
à l’assassinat de Rabin.
La coalition de « Bibi » pourrait prendre pour partenaires les partis
des implantations illégales, comme l’Union nationale et le Parti
national religieux, ainsi que des petites formations qui envisagent
actuellement de se regrouper en un seul parti.
On y retrouve le rabbin radical Benny Elon, l’un des gourous de Yigel
Amir et ancien rabbin en chef du Yeshiva Ateret Cohanim, dans le vieux
Jérusalem.
C’est là que se réunissent les fanatiques dits les Fidèles du Mont du
Temple, lesquels veulent détruire les mosquées sur le Al Haram Al
Sharif/Mont du Temple.
Une complicité entre le Kahalet les bellicistes du Likoud
Le grand jeu géopolitique qui se déroule au Proche-
Orient est incompréhensible si l’on exclut la mystique.
Il y a peu, nous expliquions que le cartel bancaire n’était
qu’un jouet entre les mains du Pouvoir occulte, appelé
« Comité X » par LIESI.
Ce dernier dispose de plusieurs leviers d’influence, y compris au
cœur du pouvoir rabbinique talmudique, successeur du
Sanhédrin qui condamna Jésus-Christ, Fils de Dieu, à
la crucifixion.
Aujourd’hui, la tête de ce pouvoir rabbinique mène Israël et son peuple
à sa propre perte.
La rédaction de LIESI n’est pas seule à esquisser ce funeste
projet.
Le 19 novembre 2008, Tsipi Livni, ministre israélien des Affaires
étrangères, qui espère succéder à E. Olmert mais a été dans
l’incapacité de mener son action politique, s’est exprimée devant
le Congrès des Communautés Juives d’Amérique du Nord, tenu au
Binyané Haouma à Jérusalem :
« Israël est un Etat juif, certes, mais basé sur la nationalité
et non sur l’élément religieux. […] Israël n’est pas le monopole des
Rabbins ou des institutions religieuses ».
Elle a repris ses thèmes de campagne favoris :
La « lutte contre les extrémistes, le soutien aux modérés », et le
processus de Paix :
« Si c’est Israël qui décide de négocier et qui prend les choses en
main, alors nous pourrons dire oui à ceci, et non à cela. Et la
nouvelle administration américaine nous suivra. Mais pour cela,
il faut un gouvernement israélien responsable et courageux
(Kadima). Par contre, si un gouvernement israélien dit non à
tout, ce sont les autres qui nous imposeront des concessions que
nousn’étions pas prêts à faire ».
Tsipi Livni a implicitement accusé les partis rabbiniques d’avoir
bloqué la constitution de son gouvernement.
E. Olmert, qui quitte donc la scène par la petite porte, s’est aussi
permis de mettre en garde les Israéliens.
A l’occasion de la dernière cérémonie de novembre, en souvenir du
Premier ministre I. Rabin, il a publiquement déclaré qu’Israël devrait
renoncer à la totalité de ses territoires, sans exception.
Au Mont Herzl et depuis la tribune de la Knesset, E. Olmert a déclaré :
« La vérité va obliger Israël à arracher des pans de sa patrie, se
séparer de la Judée-Samarie, du Golan et des quartiers arabes de
Jérusalem, pour revenir aux lignes qui prévalaient avant la Guerre des
Six jours ! »
Une telle franchise ne devrait-elle pas donner quelques sueurs froides
aux Israéliens au courant des menées secrètes sévissant au-dessus des
gouvernements ?
D’aucuns ont flairé le danger et quittent Israël depuis plusieurs mois
déjà, mais l’immense majorité ne voit malheureusement rien venir.
Comme ces députés de droite quittant la Knesset en signe de protestation
aux propos d’E. Olmert.
Pour information, un document sur la sécurité d’Israël sera publié en
décembre. Il fera partie du prochain rapport annuel du Conseil National
de Sécurité.
Parmi les recommandations qu’il apporte, il y a des plans d’attaque pour
une éventuelle frappe contre l’Iran.
Selon Samuel Rubinstein : « L’Iran occupe une place importante dans ce
document.
Il avertit qu’en 2009, Israël pourrait bien se retrouver seul à faire
face à un Iran nucléarisé, et ce, après un rapprochement possible entre
les Etats-Unis, l’Iran et le monde arabe, ce qui minerait la supériorité
militaire d’Israël dans la région »
Ce rapport insiste sur la nécessité, pour Israël, de mettre rapidement
en place une option militaire contre l’Iran et prévient qu’Israël
pourrait payer le prix fort de l’arrivée de B. Obama à la Maison-Blanche.
Les rédacteurs dudit rapport suggèrent de bloquer « à tout prix » un
accord Etats-Unis/Iran.
Doit-on conclure qu’une opération semblable à celle du 11-Septembre est
envisageable ?
Entendons que la pression mise sur les faucons israéliens l’est avant
tout par l’establishment khazar.
Poutine et la frayeur Iranienne
En marge de la réunion du Conseil des chefs de gouvernement des pays
membres de l’Organisation de Coopération de Shanghaï (OCS), le Premier
ministre russe Vladimir Poutine a rencontré le seul représentant iranien
présent (un adjoint de ministre) pour lui faire part de l’intérêt qu’il
porte à l’avenir de la coopération entre leurs pays.
Généralement, les chefs de gouvernement n’adressent pas la parole à des
subalternes, mais dans ce cas il y avait urgence. En effet, si Téhéran
n’a pas envoyé à la réunion de l’Organisation de Coopération de Shanghaï
de haut représentant du régime, comme le président ou le ministre des
Affaires étrangères, c’est bien parce que ces derniers étaient fort
occupés, à Téhéran, à recevoir dignement les deux chefs d’Etat arabes
venant en émissaires des Etats-Unis pour faire des propositions
concrètes sur la base des revendications iraniennes de renoncement à
l’enrichissement de l’uranium.
Etant donné que les mollahs avaient préféré garder en Iran leurs grosses
pointures pour rencontrer les deux émissaires des Etats-Unis au lieu de
les envoyer à la rencontre de Poutine, à Astana, ce dernier a paniqué et
s’est précipité pour rappeler son existence aux mollahs.
Une alliance avec les mollahs est essentielle pour la Russie car,
ensemble, les deux pays s’opposent à la création d’un pipeline
subaquatique qui mettrait fin à l’enclavement de l’Asie Centrale.
Poutine a donc rappelé à ses amis iraniens l’intérêt de ce refus qui
fait de la Caspienne un « domaine de coopération très prometteur pour
l’Iran et pour la Russie ».
Poutine a aussi promis des investissements tout en évoquant un avenir
radieux pour l’espace de l’OCS, connaissant le désir des mollahs
d’adhérer à cette organisation.
LE JEU DE DUPES ETATS-UNIS/IRAN NE POURRAIT MAL SE
TERMINER...car Larijani est MOSSAD...CIA et MOSSAD sont en
fait main dans la main depuis 1994..., contrairement aux annees 1970/80...
Récemment, en soutien à la diplomatie prônée par Z. Brzezinski, un
groupe de vingt diplomates et spécialistes universitaires du
Moyen-Orient a conseillé à Obama d’oublier l’option militaire et
d’engager des négociations sans condition préalable avec Téhéran.
Cet appel a été lancé au lendemain d’un discours où B. Kouchner mettait
Obama en garde contre un tel dialogue et auquel nous faisons référence
dans les BREVES de LIESI de décembre.
Après enquête, il appert que ce groupe d’experts est très lié à
l’American Iranian Council, le lobby des mollahs aux Etats-Unis.
On le voit, en matière de diplomatie, les Iraniens ont plusieurs siècles
d’expérience d’avance sur Washington.
Selon des sources confidentielles, les mollahs n’envisagent même pas de
donner suite à l’offre d’un dialogue « sans condition préalable » d’Obama.
Les mollahs refuseraient catégoriquement de devenir, selon le plan
Brzezinski, « un allié agitateur », au motif que leur exigence consiste
en une entente sans la moindre contrainte.
Si ces informations s’avèrent fondées, les deux parties s’engageraient
alors dans une partie très dangereuse pour l’avenir de la région, mais
aussi du monde, car Téhéran en viendrait fatalement à boucler
une alliance stratégique avec Moscou.
LA CITY EST DEJA DANS UNE SITUATION GRAVISSIME ET
ENVISAGE DES MESURES SCHACHTIENNES.
Selon le dernier rapport de l’AIEA (Agence Internationale de l’Energie
Atomique) de la mi-novembre 2008 concernant le développement nucléaire
en Iran, il n’y a pas eu de changement notable par rapport aux
conclusions de septembre, si ce n’est une référence aux quantités
d’uranium hautement enrichi pour une bombe.
Washington n’a pas commenté ce rapport, gênant pour les rapprochements
en cours.
La future administration Obama s’en tient donc aux conclusions du
rapport 2007 des seize services secrets sur les lacunes de l’Iran en ce
domaine.
Pourquoi l’AIEA change t-elle de discours et s’inscrit en faux avec le
courant qui, à Washington, cherche une alliance avec Téhéran ?
Tout simplement parce que l’AIEA est une agence internationale sous
contrôle britannique et que certains courants, au sein de la City,
veulent bloquer la politique d’apaisement de Washington à l’égard de
l’Iran.
En présentant son nouveau rapport, El Baradei agit pour le compte des
Britanniques dont les intérêts pétroliers (BP, Shell, Vitol) seraient
particulièrement visés par un accord entre Téhéran et Washington, lequel
profiterait aux majors du pétrole américain de Rockefeller(Exxon et
Chevron).
S’agissant des cours du pétrole, ceux-ci ont connu une chute brutale,
passant de 147 à 50 dollars le baril en quelques mois.
Une manipulation des cours réalisée, comme toujours, par les banques
d’affaires autour de Goldman Sachs.
Cette manipulation répond à un souci de requinquer le dollar et donner
de l’oxygène à l’électeur américain avant les échéances présidentielles
de novembre 2008.
Une manœuvre similaire de manipulation des cours pétroliers avait déjà
été réalisée entre le 10 juin et le 7 novembre 2006, période des
élections législatives de mi-mandat (mid-term) pour les républicains.
Comme le montre ce graphique, le prix du gallon (3,5 litres)
d’essence à la pompe connut un pic à 3 dollars (moyenne sur tout le
territoire national), à la suite de quoi il diminua significativement,
tombant à moins de 2,25 dollars début novembre 2006, soit précisément au
moment où les Américains se rendaient dans les isoloirs pour y glisser
leur bulletin de vote.
Cette chute intervint alors que, rappelons-le, le Proche-Orient
connaissait la guerre !
Quant à la guerre contre l’Iran, LIESI ne change pas ses perspectives
d’un iota : cette guerre sera déclenchée au moment où le cartel anglo-
hollandais décidera de jeter l’éponge, concluant à l’IMPOSSIBILITE de
redresser la situation en sa faveur.
______________________________________________________
(1) Le succès du livre de John J. Mearsheimer et Stephen M. Walt, tous
deux démocrates, intitulé « The Israël lobby & the US Foreign Policy »,
s’inscrit dans cette logique.
Dans leur ouvrage, ces deux universitaires présentent une sévère
critique « de la politique pro-israélienne des différentes
administrations américaines depuis 1972, qui n’était motivée ni
moralement ni stratégiquement, mais découlait uniquement des pressions
exercées par ce puissant lobby juif et pro-israélien sur les Présidents
et les Congrès américains ».
(2) L’on peut encore ajouter les craintes exprimées par un ancien
militant des milieux de la gauche radicale américaine, proche à l’époque
du mouvement des « Black Panthers »,
David Horowitz. Durant toute la campagne présidentielle américaine,
David Horowitz n’a cessé de mettre en garde les Juifs américains,
magnétisés par le charisme d’Obama.
ll se dit très inquiet de « l’influence grandissante des milieux et des
idées de la gauche radicale au sein du Parti démocrate, car tout en
étant laïques par essence, elles rejoignent objectivement celles
défendues par l’Islamisme sur la nécessité de modifier profondément
l’ordre mondial ».
« Certes », rappelle Horowitz, « le Parti démocrate n’est pas encore
arrivé à cet extrême », mais l’histoire politique des Etats-Unis, depuis
la candidature de George McGovern contre Nixon en 1972, montre que les
idées radicales ne cessent de progresser au sein du Parti.
Et Barack Obama est le candidat démocrate le plus à gauche depuis McGovern.
L’histoire de Barack Obama est celle de l’histoire du néo-communisme
américain ». « Ses conseillers [d’Obama NDLR] en communication ont
réussi à transformer une énigme en produit attractif et rassurant »,
regrette-t-il. « La période qui s’ouvre verra soit un activisme poussé
de la politique étrangère américaine, avec de semblants pressions .... lourdes
sur Israël, soit un affaiblissement notable de la position américaine
dans le monde, avec pour corollaire un renforcement de l’Europe et de la
Russie. Dans les deux cas, c’est bon pour Israël, car OBAMA est une
creation du MOSSAD, il est meme Juif de sa mere... »....CIA est au courant.