Sunday, March 1, 2009

KHAZARS CONTRE SEPHARADES : une guerre à mort

http://www.haaretz.com/print-edition/opinion/israeli-apathy-is-to-blame-for-ultra-orthodox-arrogance-1.296928
http://www.haaretz.com/hasen/spages/1166663.html

http://www.bbc.co.uk/arabic/worldnews/2010/05/100514_mustafa_jews.shtml

Contrary to the racist infighting in Israel between Khazars and Sepharades...As a Lebanese who emigrated from Lebanon during the war,it always strikes me how the nostalgia and the sense of loss is identical regardless of whether someone is a Lebanese Jew or a Lebanese anything else...

KHAZARS CONTRE SEPHARADES : une guerre à mort


Dans l'attente du résultat des élections ANTICIPEES en Israël, on
assiste en Europe à une campagne massive contre l'antisémitisme.

Comme toujours, quand les moulins à propagande et les marionnettes
politiciennes s'exécutent à l'unisson, il faut en conclure que les
tireurs de ficelles ont quelque idée derrière la tête !

Notons au passage que cette campagne, engagée en même temps que la «
bataille préventive contre la grippe aviaire », fut précédée de la
liquidation politique d'Ariel Sharon... pourtant un disciple de V.
Jabotinsky, un faucon parmi les néo-conservateurs.

Alors, pourquoi a-t-on liquidé Ariel Sharon ?

Parce qu'il avait changé de politique ?

Non, il ne faut pas se fier aux apparences. Il y a gros à parier que le
personnage avait, sur la fin de sa vie, compris une nuance essentielle
entre les Sépharades et les Khazars.

Il avait probablement compris que les Khazars, ces faux Hébreux dont
parle justement Benjamin H. Freedman (voir numéro 103), cherchent à
DETRUIRE ISRAEL.

L'élite de ces faux Hébreux, ou descendants du royaume des Khazars, sont
les exécutants du plan d'Albert Pike et de Mazzini, de 1870.

Ils plantent le décor pour le déclenchement d'une Troisième Guerre
mondiale : le « choc des civilisations » opposant le monde musulman au
monde sioniste.

Deux camps doivent s'opposer l'un à l'autre et le « film » sera
compréhensible de certains qu'une fois certains événements intervenus en
Israël.

Dès lors, il apparaît logique que ces Khazars souhaitent se confondre
avec ceux qu'ils veulent éliminer : les Hébreux et Sépharades.

Dès lors, pour ces faux Hébreux, qui sont « de la Synagogue de Satan,
qui se disent juifs, et ne le sont pas, mais qui mentent » (Apoc. III,
9), il est important d'engager de vastes campagnes contre
l'antisémitisme afin de se « couvrir.

Qui peut saisir la nuance ? Qui a lu Benjamin H. Freedman ?

Ainsi les Khazars font-ils croire, à ceux qui ne savent pas, qu'ils sont
les défenseurs d'Israël alors qu'ils s'activent avec perfidie et malice
à détruire «l'Etat juif».

Tout le monde connaît l'Anti-Defamation League (équivalent de la Licra)
et la société secrète du B'nai B'rith.

Chaque année, l'Anti-Defamation League attribue une « Torche de la
Liberté » (le classique symbole des Illuminati) à la personne qui a le
mieux servi leur cause.

Maintenant il est intéressant de savoir que B'nai Brith signifie « Fils
de L'Alliance » et fut établi par les Rothschild (khazars) en 1843 comme
un réseau de renseignement chargé d'étiqueter « antisémites »tous les «
gêneurs ».

Autre point important: l'élite khazare domine le système bancaire mondial.

Cette mainmise sur la haute finance permet à la main « anonyme et
vagabonde » d'avantager le « bloc de pays » opposés à Israël et à
l'Occident, par la manipulation des cours du pétrole...



RIEN DE NOUVEAU SOUS LE SOLEIL...

C'est toujours la même tactique : ceux qui financèrent Hitler avant
d'offrir des crédits aux ennemis de ce dernier gagnent à tous les coups.

Parcourons cet extrait de l'ouvrage Wall Street and The Rise of Hitler,
écrit par le Dr Anthony C. Sutton :

« ...l'apport fourni à l'Allemagne, avant 1940, par le capitalisme
américain en vue de préparer la guerre ne peut être qualifié que de
phénoménal.
Il fut, sans aucun doute, décisif pour la préparation militaire de
l'Allemagne.
Des preuves permettent de comprendre que le secteur influent de
l'économie américaine était, certes, lucide sur la nature du nazisme,
prêt à l'aider et à le soutenir financièrement par intérêt personnel,
pleinement conscient que cela finirait par une guerre où seraient
impliqués l'Europe et les Etats-Unis. [...] En connaissant les faits, il
est impossible de plaider l'ignorance.
Les preuves très soigneusement établies qui attestent que les milieux
bancaires et industriels américains étaient largement impliqués dans la
montée du Troisième Reich sont maintenant accessibles au public.
On peut les trouver dans les comptes rendus et les rapports sur les
auditions du gouvernement publiés entre 1928 et 1946 par les différentes
commissions du Sénat et du Congrès ».

A. Sharon avait-il compris cette nuance : quand les élites bushistes
serinent la « défense d'Israël », ils entendent en réalité la
destruction d'Israël ?

Pourquoi en était-il arrivé à haïr B. Netanyahu, le candidat préféré des
Khazars ?

Avait-il compris que cette élite khazare, exécutrice des plans du «
Comité X» et principalement de celui d'Albert Pike de 1870, a une haine
du peuple juif?

Attendons patiemment le résultat des prochaines élections de la fin mars
en Israël...

http://www.thejewsoflebanonproject.org/

Les Rothschild : LA pièce maîtresse de l'élite khazare


Au XVIIIe siècle, Moïse Amschel Bauer, un joaillier et cambiste nomade,
d'origine khazare, s'établit à Francfort en Allemagne.

C'est dans cette ville que son fils Mayer Amschel Bauer verra le jour en
1743. Leur nom vient de l'enseigne (Schild en allemand) rouge (Rot), le
blason des Khazars, qui se trouvait sur le magasin de Mayer Amschel
Bauer, dans la rue des Juifs à Francfort .

Après la mort de Moïse Bauer, Amschel Bauer commence un apprentissage
dans la banque Oppen¬heimer à Hanovre et devient rapidement un junior
partner. Grâce au général von Estorff qui, à cette époque, s'occupait de
la messagerie de la banque, il devient conseiller proche du prince
Guillaume de Hanau.

En 1770, il épouse Gutele Schnaper. Ils auront cinq garçons et cinq filles.

A l'aide d'une somme de 3 millions de dollars, qu'il soutire au prince
Guillaume, il décide de développer ses affaires sur une plus grande
échelle.

Il devient le premier banquier international ! Mayer Amschel lègue alors
cet argent à son fils Nathan, qui gère les affaires de la famille à
Londres et qui s'enrichit en prêtant de l'argent au duc de Wellington,
quadruplant ainsi sa richesse. Forts de cette fortune, les Rothschild
ouvrent des succursales à Berlin, Vienne, Paris et Naples où ils mettent
leurs fils aux commandes. Londres a été et reste toujours le siège
principal des Rothschild.

Dans le testament de Mayer Amschel, il est précisé que toutes les
positions clés doivent être occupées par des membres de la famille et
que ceux-ci, pour conserver le patrimoine et la richesse, doivent se
marier entre cousins et cousines des premier et deuxième degrés.

La règle a été assouplie plus tard, quand d'autres banques juives sont
apparues et que les Rothschild ont marié leurs enfants à ces familles
d'élite, pour agrandir la fortune. On sait que les Rothschild étaient
des Talmudistes fanatiques et que le Talmud faisait partie de leurs
lectures quotidiennes.

Après leur succès à Waterloo, ils se lancèrent à la conquête des
Etats-Unis. Ils perdirent le premier round, quand le Président Jackson
décida de fermer la Bank of the United States, qu'ils avaient fondée.

Mais ils ne lâchèrent pas prise.

En 1876, Otto von Bismarck avouait: « La division des Etats-Unis en deux
fédérations de force égale fut décidée bien avant le déclenchement de la
guerre civile appelée Guerre de Sécession par la haute finance,
véritable pouvoir en Europe.

Ces banquiers ont eu peur que les Etats-Unis, en restant une nation
unie, ne deviennent une puissance économique capable de gêner leur
mainmise sur le monde. La décision des Rothschild l'emporta. Ils
complotèrent alors en vue de provoquer une guerre civile ; en finançant
les deux parties, le gagnant serait de toutes les façons débiteur de la
haute finance internationale ».

Cet initié de grande envergure savait ce qu'il disait: à l'époque, les
Rothschild financèrent les deux côtés à travers leurs banques de Paris
et de Londres. Le financement des gouvernements par les banques suit le
principe qui veut que l'on ne doit pas prêter de l'argent qu'à un seul
pays. Il faut agir de même avec le pays adverse.

Le préteur doit s'assurer que les deux pays sont d'égale puissance pour
qu'en cas de conflit, le financement soit le facteur déterminant. Si un
pays ne paie pas, le préteur menacera ce pays de guerre par
l'intermédiaire d'un autre pays.

Si le premier pays refuse toujours de payer, le préteur mettra la
mainmise sur lui en se servant de l'autre pays qui fera du premier pays
son butin de guerre.

En 1914, les deux agents principaux des Rothschild : Kuhn Loeb & Co et
J.P. Morgan & Co, étaient bien établis aux Etats-Unis. Jacob Schiff prit
le commandement et appuya, à l'aide de ses relations avec les
représentants allemands des Rothschild (la banque MM. Warburg de
Hambourg et d'Amsterdam, aujourd'hui UBS SA), l'édification de l'empire
de Rockefeller (la Standard Oil), les chemins de fer d'Edward Harriman,
et les aciéries de Carnegie.

En 1907, ils provoquèrent en Amérique la plus importante crise monétaire
de cette époque, à travers les banques Kuhn Loeb & Co, J.P. Morgan &Co
et MM. Warburg.

Cette manoeuvre se solda par la création de la banque centrale privée
des Rothschild : la Federal Reserve Bank. Aussitôt, leur agent et
collaborateur de Kuhn Loeb & Co, Paul Warburg fut placé à sa tête.

Ajoutons au passage que Paul Wartburg sera également le président d'I.G.
Farben..., un petit détail qui aidera à comprendre les dessous
dramatiques de la « grippe aviaire » .

En fait, Jacob Schiff était pour les Rothschild le financier et le
coordinateur de la révolution bolchevique et le financier personnel des
révolutionnaires khazars (Trotski et ses rebelles), afin de permettre
(comme il y a dix siècles) que les Khazars reviennent au pouvoir en
Russie (voir l'ouvrage de Benjamin H. Freedman).

Puis les élites khazares mirent en oeuvre un ensemble de conditions en
vue d'obtenir une Seconde Guerre mondiale.

« Le temps était venu, c'était l'automne 1929, où les banquiers
internationaux devaient appuyer sur le bouton qui allait déclencher la
Deuxième Guerre mondiale.

Après avoir trahi même leurs agents et leurs amis en provoquant
artificielle¬ment un boom d'actions, ils détruisirent la base du système
et précipitèrent les Etats- Unis dans une profonde crise.

Les années suivantes virent le développement économique se ralentir dans
le monde entier jusqu'à ce que, pratiquement, plus rien ne marchât».
(Des Griffin, dans l'ouvrage Descent into slavery.)

Donc la crise économique de 1929 fut bien orchestrée par de puissants
banquiers, lesquels cherchaient à justifier une autre guerre mondiale.

Quant aux deux guerres mondiales, elles furent utilisées afin de planter
le décor en vue du déclenchement de la prochaine.
Pour obtenir une nouvelle guerre mondiale : CREER UN ETAT JUIF

Comment exécuter cette troisième étape du plan Pike ?

« La Troisième Guerre mondiale doit éclater par l'amplification des
différences, fomentée par les Agentures (agents espions) des Illuminati,
et existant déjà entre le Sionisme politique, Israël, et les chefs du
monde musulman.

D'après les plans écrits entre 1859 et 1871, cette "guerre "doit être
dirigée de manière que l'Islam, le monde arabe incluant le mahométisme,
et le Sionisme politique, incluant l'Etat d'Israël, et par conséquent,
les Etats-Unis, se détruisent les uns les autres. Les nations restantes,
divisées et donc belligérantes seraient forcées, à l'issue de cette
"guerre ", de se battre entre elles... »

(Rédigé le 26 juin 1945 par W.G. Carr, ancien agent des services secrets
canadiens.)

LA « CREATION D'ISRAEL » était donc bien nécessaire.


La prédiction du faux prophète...

En 1880, Charles Taze Russell, ami des Rothschild, prédit que «les Juifs
retourneraient dans leur pays ». C'est à peu près la seule prédiction
correcte qu'il fit.

Pourquoi ?

Justement parce qu'il connaissait le plan que devait exécuter l'élite
bancaire khazare.

Pour la petite histoire, Charles Taze Russell sera le fondateur de la
Société « Tour de Garde » / Watchtower, mieux connue sous le nom de
«Témoins de Jéhovah ». C'était un sataniste et un pédophile selon les
dires de sa propre femme.

Réalisation de la « prophétie »

En 1917, le ministre britannique des Affaires étrangères, Lord Balfour,
déclara que son gouvernement était favorable à la création d'un « Etat
Juif en Palestine ».

Si les livres d'histoire disent que cette lettre avait été écrite par
Lord Balfour, la réalité est bien différente. En effet, les historiens
affirment que cette lettre fut en fait écrite par Lord Rothschild et son
employé, le banquier Alfred Milner.

La suite est très intéressante : Lord Balfour était un membre intime de
la Table Ronde dont le chef affiché n'était autre... qu'Alfred Milner.
Et qui finançait la Table Ronde ?... Lord Lionel Walter Rothschild !

Deux années plus tard, en 1919, ce fut la Conférence pour la Paix à
Versailles. Par quels personnages le gouvernement américain fut-il sommé
de se faire représenter ?

Par les têtes dirigeantes de la Table Ronde d'Angleterre et des
Etats-Unis ! Des noms ?Alfred Milner, Edward Mandel House et Bernard
Baruch furent désignés comme représentants de leurs pays.

Ce sont ces personnages, inconnus du grand public et dont les noms sont
absents des livres d'histoire, qui mirent en oeuvre les circonstances à
partir desquelles le déclenchement d'une prochaine guerre mondiale
allait devenir incontournable.

Ces individus imposèrent des paiements de réparation impossibles à
l'Allemagne, s'assurant ainsi de l'effondre¬ment futur de la République
de Weimar d'après guerre et, dans la foulée, d'un effondrement
économique incroyable à partir duquel les événements devinrent
favorables à A. Hitler, membre de la Société de Thulé et pantin des
Rothschild.

Ces personnages, pour la plupart membres de la Table Ronde se
rencontrèrent à l'hôtel Majestic et esquissèrent l'ébauche de ce qui
deviendra la vaste organisation Bilderberg-CFR-RITA-Commission Trilatérale.

A Versailles, ils décidèrent également la création d'un Etat Juif en
Palestine. L'élite khazare contrôlait ainsi tout en coulisse...

C'est ainsi que le Président américain Woodrow Wilson fut «conseillé » à
Versailles par le colonel House et Bernard Baruch, tous les deux des
clones et chefs de la Table Ronde aux Etats-Unis ; le Premier ministre
britannique Lloyd George fut «conseillé » par Alfred Milner (l'employé
des Rothschild et chef de la Table Ronde), et Sir Philip Sassoon (un
descendant direct de Mayer Amschel Rothschild) ; enfin l'autorité
française, Georges Clemenceau, fut « conseillée » par son ministre de
l'Intérieur, Georges Mandel, dont le vrai nom était Jéroboam Rothschild.

La délégation américaine comprenait également les frères Dulles, John
Foster et Allen. John Foster Dulles deviendra Secrétaire d'Etat aux
Etats-Unis, tandis qu'Allen Dulles sera le premier directeur de la CIA
après la Seconde Guerre mondiale.

Au moment de la mise en place des Nazis, ces personnages étaient
employés par les Rothschild chez Kuhn, Loeb & Co.

Est-ce tout? Pas vraiment...

La délégation américaine à Versailles était représentée par Paul
Warburg, l'émissaire des Rothschild, et représentant la branche
américaine d'I.G. Farben.

En face, la délégation allemande incluait son frère, Max Warburg... qui
allait devenir le banquier d'Hitler. Leur hôte en France, durant la
conférence de « Paix», n'était autre que le baron Edmond de Rothschild.
Et ce dernier n'oubliait pas le plan que le « Comité X » devait mettre
en oeuvre !

Le baron Edmond de Rothschild n'était pas seulement le haut financier
qui, dans l'ombre, imposait les négociations et les résolutions du
traité de Versailles ; il était aussi celui qui mit en oeuvre le « plan
ISRAEL ».

D'ailleurs, à sa mort, en 1934, ne l'appelait-on pas le « Père d'Israël » ?

En fait, le baron Edmond de Rothschild avait commencé à esquisser la
troisième partie du plan Pike dès les années 1880.

Grâce à son immense fortune, il aidait financièrement les juifs russes à
établir des communautés en Palestine. Plus précisément, il s'agissait de
fermes et d'usines que les livres d'histoire appellent «Yishuv».

La marge de manoeuvre des ces pauvres gens était très faible. Par
exemple, la puissance bancaire khazare imposait aux fermiers juifs
jusqu'aux grains à semer !

Aussi, des plaintes ne tardèrent pas et en 1901, les colons contestèrent
la dictature imposée par les khazars. La réponse du Baron Rothschild ne
tarda pas : « J'ai créé le Yishuv, moi seul. Donc aucun homme, même
colon ou organisation n'a le droit d'intervenir dans mes plans... »

Cette réponse exprime parfaitement le cynisme de ces personnages envers
le «peuple juif», et bien sûr, la population humaine en général.

D'après le livre de Simon Schama, Les deux Rothschild et la terre
d'Israël (Collins, London, 1978), les Rothschild ont acquis 80 % de la
surface d'Israël...

Dans le même temps, il était nécessaire de créer un mouvement politique.

Les puissances financières des khazars choisirent de travailler
étroitement avec Théodore Herzl, le fondateur du Sionisme, ce mouvement
politique créé pour assurer un « Etat Juif» en Palestine.

La puissance financière des Khazars était également derrière Chaïm
Weizmann, une autre figure du Sionisme. Comme le disait le baron de
Rothschild à Weizmann : « Sans moi le Sionisme n'aurait jamais survécu,
mais sans le Sionisme mon oeuvre aurait été arrêtée complètement ».

Tandis que la haute finance khazare finançait largement les juifs de
Palestine, elle ordonnait à ses agents infiltrés dans tous les
gouvernements de faire avancer les choses en faveur de la création d'un
« Etat juif» en Palestine.

Et comme il fallait couper court aux protestations des arabes, de hautes
autorités juives s'entendirent avec les nazis pour réaliser ce que tout
un chacun connaît !

C'est ainsi que, par étapes interposées, par le financement des
mouvements terroristes comme le Gang Stern et l'Irgoun, on arriva à la
création d'un « Etat juif » en 1948.

Du jour au lendemain, les leaders des groupes terroristes, les criminels
qui tuèrent de nombreux innocents, devinrent d'un seul coup de
respectables politiciens admis dans la cour des «grands de ce monde ».
Des gens comme David Ben Gourion, Ménachem Begin, Yitzak Rabin et Yitzak
Shamir étaient devenus des personnalités respectables de premier plan.

Le Nouvel Israël était devenu l'Etat Rothschild !

Tout obstacle au plan Pike, exécuté par la puissante élite des Khazars,
devait être ELIMINE.

Le Comte Bernadotte, médiateur international, fut exécuté le 17
septembre 1948 tout simplement parce qu'il avait l'intention de
présenter « une nouvelle partition de la résolution aux Nations Unies ».

Souvenez-nous de l'affaire Rathenau et celle de H. Kissinger (Cf. Le
complot mondial : mythe ou réalité ? — Ed. Delacroix).

A partir de 1948, la haute finance khazare dessina son prétendu « Arc de
Crise » au Moyen-Orient en divisant, dirigeant et conquérant... jusqu'à
aujourd'hui.

Mais à partir de 2006 se joue la fin du scénario commencé officiellement
en 1948 et officieusement dans les années 1880...
Rendez vous dans trois ans


Israël à la croisée des chemins


L'état de santé critique d'Ariel Sharon a complètement transformé la
campagne électorale en cours en Israël.

Le nouveau parti Kadima n'était en tête dans les sondages que grâce à la
personnalité de son fondateur, Ariel Sharon.

Sans lui, de nombreux observateurs israéliens pensent que, réduit à une
assemblée de politiciens médiocres, le Kadima chutera très vite.
Mais attention, le parti Kadima fait partie des plans, et ceux qui
programment sa mort le verront ressurgir au moment de la période qui
s'annoncera comme cruciale avant le déclenchement de la partie finale

Certaines cellules du renseignement international laissent entendre que
la course se jouerait désormais entre le Parti travailliste dirigé par
Amir Peretz et le Likoud de Benjamin Netanyahou.

Le scénario de LIESI, annoncé depuis un an, devient donc... inquiétant!

Netanyahou et Ehud Olmert entretiennent tous deux des liens étroits avec
le gouvernement Bush-Cheney, et notamment son principal architecte,
George Shultz.

Amir Peretz, en revanche, a établi des relations avec le Parti
démocrate, notamment des cercles proches du président Clinton et de son
épouse.

LIESI apprend également, par son réseau d'information américain, que «
le vice-président américain Dick Cheney a envoyé un émissaire en Israël
afin d'explorer les moyens permettant de ramener au pouvoir Benjamin
Netanyahou et le Likoud ».


Du contrôle du Moyen-Orient aux pétro-dollars

Le contrôle de la région permit la création d'un nouveau système
monétaire international enclenché le 15 août 1971...

La haute finance donnait au dollar américain le statut de valeur de
référence et son cours allait évoluer au gré des crises. A chaque fois
qu'il était en situation difficile le pétrole était l'arme utile
permettant de surmultiplier la demande en dollar.

Puis nous arrivons à... la perspective de l'ouverture de la bourse de
pétrole en EURO à Téhéran pour la fin mars 2006...

La haute finance a toujours été favorable à la création de l'euro !

Le 19 septembre 2000, The Telegraph diffusait plusieurs documents
prouvant une intervention des services secrets américains dans les
années 50 et 60 en vue d'encourager la fédéralisation de l'Europe.

En 1948, l'American Committee for a United Europe (comité américain pour
une Europe unie) fut créé. Cet organisme finançait le Mouvement
Européen, une organisation fédéraliste, et l'une de ses branches, la
European Youth Campaign (campagne de la jeunesse européenne).

La majeure partie du financement de ces mouvements provenait... des
fondations Ford et Rockefeller.

Par conséquent, si la création de l'euro (pour être plus fort que le
dollar dans un monde globalisé) est la finalité d'un « projet européen »
qui a bénéficié du soutien des services secrets américains, pas mal de
politiciens ont besoin de revoir leur copie.

Tel n'est pas le cas de certains économistes de Morgan Stanley aux
ordres des Rockefeller dont chacun appréciera l'aveu :

« Si l'on supprime la devise nationale comme soupape de sécurité [pour
introduire l'euro, NDLR], les gouvernements devront se concentrer sur
les changements concrets à effectuer pour devenir plus compétitifs :
impôts plus bas, flexibilité du marché du travail et cadres
réglementaires plus favorables à l'industrie ». (Ravi Bulchadani,
économiste chez Morgan Stanley — The Euro — Special Report, Business
Week, 27 avril 1998.)

L'euro a justement été considéré comme le moyen, l'instrument financier
le plus rapide pour introduire des changements structurels !

Ces derniers devaient profiter aux multinationales mais également
induire des conséquences sociales et écologiques dont on peut tous
constater l'ampleur au fil des dernières années.

Et pour couper court à toute opposition des gouvernements l'euro fut
réalisé avant l'Europe politique.

En agissant ainsi, il était évident que cette monnaie échappait
totalement aux gouvernements qui l'ont d'ailleurs créée et qui n'ont, à
ce jour, plus le pouvoir de « battre monnaie ».

Nos princes se retrouvent nus comme le roi Ubu. Ils ont festoyé, préféré
la gabegie des finances publiques pour de piètres desseins politiques ;
ils ont oublié ce que disait Thomas Jefferson : « Le pouvoir d'émettre
l'argent devrait être retiré des banques et redonné au gouvernement à
qui il appartient ». John F. Kennedy l'avait compris, et il eut le tort
de s'entêter sur ce projet.

Grâce à ce système libéral-monétariste, tous les gouvernements européens
sont soumis au contrôle exercé par un groupe d'intérêts financiers
privés, réunis dans le système de banque centrale.

Aujourd'hui, le dollar et l'euro sont les monnaies phares des marchés.

D'aucuns voient, avec raison mais dans une certaine limite, une guerre
entre les clans Rockefeller (dollar) et Rothschild (euro), mais c'est
oublier que ces deux familles de la haute finance sont chapeautées par
le « Comité X».

C'est lui qui va avoir le dernier mot.

Autrement dit, le vainqueur de la guerre monétaire dollar (qui a
l'inconvénient d'être miné par une dette gigantesque) contre euro (qui a
l'avantage d'être en partie soutenu par l'or) ne sera ni les Rockefeller
ni les Rothschild, mais ce pouvoir occulte.

Alors, quelle sera la suite du point de vue monétaire ?

Que préparent les élites bancaires dans un tel contexte ?

Le sujet n'est pas simple, il sera développé dans un tiré à part.

Disons déjà que d'aucuns seront surpris de ce qui est préparé dans un
horizon relativement proche...

Bien évidemment, ceux qui ont suivi les conseils de LIESI seront les
mieux placés. Ce document s'intitulera :
DE LA GLOBALISATION A UNE MONNAIE GLOBALE
Le « plan Pike » exige l'implication de l'Occident auprès d'Israël


Il y a une quinzaine de jours, le quartier général à Bruxelles était
dans tous ses états parce que le général- major Axel Tüttelmann (chef de
la Force de Contrôle et d'Alerte Rapide de IOTAN), montrant un avion
Awacs d'alerte rapide en Israël, avait laissé entendre une implication
de l'OTAN dans une frappe militaire contre l'Iran.

Des propos allant parfaitement dans le sens de l'information publiée par
LIES! dans son numéro 103 évoquant l'entrée d'Israël au sein de l'OTAN.

En réalité, les commentaires de Tüttelmann confirment « que l'alliance
militaire pourrait jouer un rôle de soutien si les Etats-Unis lançaient
des frappes militaires contre des sites nucléaires en Iran ».

De récentes gesticulations montrent que nous avançons sur un chemin
dangereux.

En effet, selon des sources des milieux du renseignement occidentaux
citées par les médias allemands, Peter Gross, chef de la CIA, a rendu
visite à Recep Erdogan, le Premier ministre de la Turquie, membre de
l'OTAN, à la fin de l'année dernière pour lui demander un soutien
logistique et des renseignements dans le cas de frappes aériennes contre
l'Iran.

Comme l'écrit l'hebdomadaire Der Spiegel: « Il semblerait que Washington
soit en train d'envoyer des officiels de haut rang pour préparer ses
alliés à l'éventualité d'une attaque ». C'est d'ailleurs ce qu'a
confirmé le colonel Larry Wilkerson, ancien adjoint du secrétaire d'Etat
Colin Powell.

Il estime, en effet, que des plans d'urgence pour une action militaire
contre l'Iran sont en préparation au Pentagone.

Le 14 janvier, le chef d'état-major de la Marine, Sir Alan West,
déclarait quant à lui : « L'impact (d'une attaque sur l'Iran) pourrait
être absolument épouvantable. Il est difficile d'utiliser le mot
«inconcevable ». S'impliquer dans une action militaire serait tout à
fait stupide. [...] Le problème doit être résolu d'une autre manière ».

Sir Alan West, qui doit partir à la retraite dans deux mois, est le
premier officier de haut rang en service actif à s'élever contre une
action militaire dans une déclaration aussi percutante.

L'OTAN serait probablement chargée des défenses aériennes en Turquie,
selon Dan Goure, un conseiller auprès du Pentagone et vice-président du
Lexington Institute, un groupe de réflexion militaire.

Un ancien officiel de haut rang de la Défense israélienne a déclaré
qu'il pensait que tous les membres de l'OTAN avaient des plans
d'intervention.

Certains affirment que les forces spéciales israéliennes seraient déjà à
l'oeuvre en Iran pour tenter de localiser rapidement les sites secrets
d'enrichissement d'uranium.

Dans le même temps, deux groupes d'opposition iraniens ont dit que
l'Iran avait augmenté sa production de missiles Shaab 3, qui ont une
portée de 1800 km, distance suffisante pour atteindre Israël.

La curieuse « fausse note » d'H. Kohl

Une fois libérés, les dirigeants d'IG Farben infiltrèrent les plus hauts
postes de l'économie allemande.

Jusque dans les années 70 les PDG des sociétés BASF, BAYER et HOECHST
étaient des anciens membres du parti nazi. Ils financèrent à partir de
1959 le jeune Helmut Kohl...

Grâce au soutien politique de ce dernier, les trois filiales issues de
l'IG Farben sont actuellement 20 fois plus grandes que la maison mère
initiale de 1941...

Ces informations très brèves pour appréhender les « forces » agissant
derrière la marionnette politicienne H. Kohl, chargé, en 1989, de
concert avec le théosophe Gorbatchev, d'illusionner l'opinion sur la
perestroïka.

Dans le contexte géopolitique que LIES! met en évidence d'une manière,
certes peu commune, les toutes dernières déclarations de Kohl du mois de
mars trouvent une logique.

« L'ancien Chancelier allemand Helmut Kohl a dit à des hommes d'affaires
iraniens qu'il était d'accord avec les propos exprimés par le Président
iranien Mahmoud Ahmadinejad concernant le "mythe de l'Holocauste " ».

Le journal iranien Jomhouri Islami a fait état de ces propos, repris par
l'agence de presse internationale Reuters.
Il est bien sûr évident que Helmut Kohl ne s'est pas exprimé ainsi sans
avoir réfléchi...

Un aveu intéressant

Un analyste des services spéciaux russes a annoncé, sous couvert
d'anonymat, que les Etats-Unis considèrent actuellement l'Iran comme un
objet de pression parce que, entre autres, il est l'élément clé de la
base énergétique de la Chine, de l'Inde et du Japon qui dépendent du
pétrole proche-oriental.

En cas de sanctions contre l'Iran ou d'opérations militaires dans la
région, la Chine sera la grande perdante parce qu'elle sera privée des
livraisons de matières premières énergétiques.

«Par ailleurs, aussi cynique que cela puisse paraître, tout scénario
d'évolution des événements sera favorable à la Russie », ajoute l'expert.

« La tension maintient les cours élevés du pétrole. En cas de sanctions
ou de conflit ils augmenteront considérablement et la Chine n'aura
d'autre solution que d'acheter des matières premières énergétiques à la
Russie ».
Sarkozy l'agent des Khazars


Depuis le 27 novembre 2005, grâce à un procédé de « speeddating », le «
Cercle Azincourt» organise, dès l'âge de 16 ans, des sessions de
recrutement de jeunes enthousiastes pour le candidat présidentiel.

Un site Internet de Sarkozy en annonce la finalité : «A 18 mois des
élections présidentielles, au-delà des querelles de personnes, la France
est-elle prête au changement? Sans doute pas. Quel que soit le candidat
élu en 2007, il aura peu de marges pour réformer la France et rompre
avec un modèle archaïque, faute de soutiens dans la société civile ».
Pour organiser ce soutien, le « Cercle Azincourt» se propose donc de «
populariser l'idée de rupture » afin de « sortir la France de ses peurs,
l'ouvrir à la réalité du monde », en regroupant « des diplômés de
Sciences Po, de Normale Sup, de l'Ecole de Guerre économique, de l'Ecole
supérieure de Journalisme, [...] des avocats, des lobbyistes, des
financiers, des communicants, des entrepreneurs ».

En 1414, à Azincourt, la fine fleur de la Chevalerie française fut
terrassée par de courageux archers anglais, pourtant largement
inférieurs en nombre. « Les Français payaient leur arrogance, leur
enfermement dans des armes et des concepts archaïques, la surprotection
de leurs armures, lourdes au point de les enliser, face à l'extrême
mobilité des flèches anglaises ».

Etablissont ce parallèle métaphorique avec aujourd'hui, les adeptes de
Sarkozy prétendent « qu'à nouveau les Français s'enlisent sous la
surprotection de leur modèle social, anachronique, qui ne leur permet
plus de s'adapter à l'environnement.

A nouveau leur arrogance les conduit à penser que leur système est le
meilleur du monde. Il y a des ratés ? C'est la faute à l'Europe ! C'est
la faute au libéralisme ! [sic] Et les Français de rejeter la
construction européenne, de faire l'autruche, de refuser de voir le
monde ».

Derrière ce sophisme, la réalité se dessine quand on découvre que le
document de référence de cette mouvance est le Rapport Camdessus
(octobre 2004), rapport commandé par Sarkozy afin d'analyser « les
freins à la croissance en France » et de faire capituler la France
devant la mondialisation grâce à sa politique « de réformes ».

Michel Camdessus, cet « homme sage » qui partage un « groupe de prières
» avec Jacques Delors, est l'ancien président du Fonds monétaire
international (FMI), cette institution devenue poigne de fer d'un syndic
de créanciers khazars capable de faire respecter les privilèges des
grands chevaliers de la haute finance, bien qu'au prix de génocide, de
sang et de larmes.

Selon Sarkozy, « la France ne redoute pas le changement, elle l'attend ».

Cet homme est finalement dangereux car il n'est que la marionnette des
intérêts oligarchiques voulant semer la « terreur » en France.

Les « néo-con » contre V. Poutine

La Conférence sur la sécurité (anciennement baptisée Wehrkunde), qui
s'est déroulée di 2 au 5 février à Munich, a été largement dominée par
la crise iranienne.

Etaient présents la chancelière Angel Merkel, trente-cinq ministres des
Affaires étrangères et de la Défense, dont ceux des Etats-Unis (Donald
Rumsfeld et ses prédécesseurs William Cohen et William Perry), de
Grande-Bretagne, de France et de Russie, quatre sénateurs américains et
nombre de parlementaires et experts en matière de sécurité.

Y compris deux hauts diplomates iraniens.

Au-delà de la phraséologie des « néo-con » américains contre l'Iran, le
sénateur MacCain a été très violent contre V. Poutine : « Tout ce que
nous voyons aujourd'hui indique que le gouvernement russe a choisi sa
voie, et elle n'est pas la nôtre.

Le Kremlin préfère la poursuite de l'autocratie à l'intérieur et à
l'étranger, et cherche à bloquer une action concertée contre des Etats
voyous et à affaiblir ses adversaires démocrates.

Il s'agit d'un état d'esprit soviétique, non de post-Guerre froide.
Sous M. Poutine, la Russie d'aujourd'hui n'est ni une démocratie, ni une
grande économie mondiale, et je me demande sérieusement si les
dirigeants du G-8 devraient participer au sommet de Saint-Pétersbourg ».


En fait, la réalité est bien différente de ce que les médias présentent!

Quant à la réaction du bloc hostile à l'Empire états-unien... elle n'a
pas tardé.

Le 1 er mars, lors d'une conférence de presse à Minsk, le chef du Comité
de sécurité nationale (KGB) biélorusse, Stepan Soukhorenko, déclarait
qu'un complot de coup d'Etat fomenté par l'opposition avait été découvert.

Au soir des élections du 19 mars prochain, l'opposition devait comparer
le résultat des votes avec un prétendu sondage frauduleux et accuser la
commission électorale d'avoir falsifié les résultats.

Ensuite, il était prévu d'appeler la population à descendre dans la rue
pour protester.

Ce scénario est le même qu'en Géorgie et en Ukraine, où justement des
résultats de sondages avaient servi de base aux accusations portées
contre les autorités !

Le KGB biélorusse semble posséder d'autres informations à ce sujet.

Stepan Soukhorenko a notamment affirmé que, selon ses sources, en plein
meeting, au milieu de la foule, devaient être activés des engins
explosifs. « L'apparition de sang et de victimes aurait donné les mains
libres aux organisateurs des manifestations pour la deuxième étape, à
savoir la prise des bâtiments officiels, des gares, le blocage des
chemins de fer, ce qui aurait conduit à l'arrêt total du fonctionnement
de l'Etat et, dans ce mouvement, à une prise du pouvoir par la force »,
a précisé le chef du KGB.

La situation autour de cette falsification à l'avance des résultats d'un
sondage de sortie des urnes est d'autant plus tendue que les documents
portent la marque de la représentation lituanienne de l'institut
américain Gellapa.

Bien sûr, les représentants de cette organisation américaine à Vilnius
on nié toute implication et ont rappelé, en outre, que l'Institut
Gellapa n'avait de toute façon pas l'autorisation de mener d'enquêtes
d'opinion officielles en Biélorussie, n'ayant pas d'accréditation.

Réponse du KGB : « L'organisation " Partnerstvo " est une structure
d'origine étrangère, dirigée et financée depuis l'étranger, qui s'amuse
à fomenter des révolutions ». « Elle a travaillé dans la clandestinité
depuis 2002 et a agi selon toutes les règles d'une conspiration, même
l'information contenue dans ses ordinateurs était codée. Ils n'ont pas
pu imaginer ça tout seuls. Ils ont à coup sûr suivi une formation en la
matière », a considéré M. Soukhorenko.

Selon les présomptions évoquées lors d'une conférence de presse, le
financement serait passé par la représentation à Kiev de l'Institut
Démocratique National (NDI, Etats- Unis), financé par le Département
d'Etat américain et dirigé par l'ex secrétaire d'Etat Madeleine Albright !

Le lien aurait été effectué par l'intermédiaire d'un certain David Hamilton.

Toujours selon le chef du KGB, les Etats-Unis auraient débloqué dans ce
but en 2006 une somme de 12 millions de dollars.

En matière de preuve, il a présenté aux journalistes un fragment vidéo
de l'interrogatoire du coordinateur à Minsk de « Partnerstvo », Timofeï
Drantchuk, dans lequel il était question du financement étranger de
l'activité d'observateurs de l'élection présidentielle.

Comme par hasard, le Département d'Etat américain avait ces dernières
semaines multiplié les déclarations sur la volonté du pouvoir biélorusse
d'organiser des élections présidentielles correspondant aux standards
internationaux...


Dernière minute : « Mort » de Milosevic

Encore l'élimination d'un témoin gênant sur le génocide serbe... ! Comme
Ariel Sharon, il est victime d'un « médicament contre-indiqué ». A quand
le tour de l'acteur S. Hussein ? Suite au prochain numéro...

Origin of Ashkenazi Jews....

The Khazar Empire and its Heritage

By Arthur Koestler


This book traces the history of the ancient Khazar Empire, a major but
almost forgotten power in Eastern Europe, which in A.D. 740 converted
to Judaism. Khazaria, a conglomerate of Aryan Turkic tribes, was
finally wiped out by the forces of Genghis Han, but evidence indicates
that the Khazars themselves migrated to Poland and formed the craddle
of Western (Ashkenazim) Jewry...
The Khazars' sway extended from the Black sea to the Caspian, from the
Caucasus to the Volga, and they were instrumental in stopping the
Muslim onslaught against Byzantium, the eastern jaw of the gigantic
pincer movement that in the West swept across northern Africa and into
Spain.
Thereafter the Khazars found themselves in a precarious position
between the two major world powers: the Eastern Roman Empire in
Byzantium and the triumphant followers of Mohammed. As Arthur Koestler
points out, the Khazars were the Third World of their day, and they
chose a surprising method of resisting both the Western pressure to
become Christian and the Eastern to adopt Islam. Rejecting both, they
converted to Judaism.
The second part of Mr. Koestler's book deals with the Khazar migration
to Polish and Lithuanian territories, caused by the Mongol onslaught,
and their impact on the racial composition and social heritage of
modern Jewry. He produces a large body of meticulously detailed
research in support of a theory that sounds all the more convincing
for the restraint with which it is advanced.
Mr. Koestler concludes: "The evidence presented in the previous
chapters adds up to a strong case in favour of those modern historians
- whether Austrian, Israeli or Polish - who, independently from each
other, have argued that the bulk of modern Jewry is not of
Palestinian, but of Caucasian origin. The mainstream of Jewish
migrations did not flow from the Mediterranean across France and
Germany to the east and then back again. The stream moved in a
consistently westerly direction, from the Caucasus through the Ukraine
into Poland and thence into Central Europe. When that unprecedented
mass settlement in Poland came into being, there were simply not
enough Jews around in the west to account for it, while in the east a
whole nation was on the move to new frontiers" ( page 179, page 180).
"The Jews of our times fall into two main divisions: Sephardim and
Ashkenazim.
The Sephardim are descendants of the Jews who since antiquity had
lived in Spain (in Hebrew Sepharad) until they were expelled at the
end of the fifteenth century and settled in the countries bordering
the Mediterranean, the Balkans, and to a lesser extent in Western
Europe. They spoke a Spanish-Hebrew dialect, Ladino, and preserved
their own traditions and religious rites. In the 1960s, the number of
Sephardim was estimated at 500,000.
The Ashkenazim, at the same period, numbered about eleven million.
Thus, in common parlance, Jew is practically synonymous with Ashkenazi
Jew." ( page 181).
In Mr. Koestler's own words, "The story of the Khazar Empire, as it
slowly emerges from the past, begins to look like the most cruel hoax
which history has ever perpetrated."

The history of the Ashkenazi Jews was widely known and appreciated in
the former Soviet Union. Ashkenazi militants traced the area where the
Turkic Khazars originated before their migration to Southern Russia to
Birobidjan, an Eastern Siberian area as big as Switzerland bordered by
the Amur river, by China and Mongolia. Around 1928 they started
building settlements with the Soviet government's help and in 1934 the
Autonomous Republic (Okrug) of Birobidjan Yevrei came into being with
official languages of Yiddish and Russian. It is still there as an
Autonomous Republic to this day, offering the only historically
legitimate settlement area for Ashkenazi Jews willing to exercise
their "right to return"...

Mr. Koestler was an Ashkenazi Jew and took pride in his Khazar
ancestry. He was also a very talented and successful writer who
published over 25 novels and essays. His most successful book,
Darkness at Noon, was translated in thirty-three languages.
As expected, The Thirteenth Tribe caused a stir when published in
1976, since it demolishes ancient racial and ethnic dogmas...At the
height of the controversy in 1983, the lifeless bodies of Arthur
Koestler and his wife were found in their London home. Despite
significant inconsistencies, the police ruled their death a
suicide...Another Mossad "suicide"!

http://www.christusrex.org/www2/koestler/


Here’s a very short one – in French – about the Jews in Iran

http://www.youtube.com/watch?v=-tuHa89ef2Y

And an article by Roger Cohen, published in the New York Times : “What Iran’s Jews Say” (22/02/2009) :
http://www.nytimes.com/2009/02/23/opinion/23cohen.html?_r=1

“[...] the reality of Iranian civility toward Jews tells us more about Iran — its sophistication and culture — than all the inflammatory rhetoric.”