Saturday, February 21, 2009

Europe is still in the cross-hair of the PNAC hegemons...




« The deficiences of Global Capitalism », Georges Soros / CIA

Europe is still in the cross-hair of the PNAC hegemons...

Dans son livre écrit en 2002 « The deficiences of
Global Capitalism », Georges Soros / CIA écrit :

« La démocratie et la société ouverte ne peuvent être imposées
que de l’extérieur, parce que le principe de souveraineté fait
obstacle à l’ingérence extérieure. [...]
Certes, il est difficile de s’ingérer dans les affaires
intérieures de pays souverains, mais il est important de reconnaître le
problème ».

Pour Soros/CIA, une manière de s’ingérer dans un Etat souverain
consiste à attaquer sa monnaie pour produire un ensemble
d’effets dominos qui impacteront la sphère sociale et
produiront des révoltes sociales permettant au chef d’orchestre de la
crise d’imposer SA solution....

George Soros/CIA, l’un des valets du cartel bancaire (1), est
incontestablement l’un des instruments de cette politique de
démantèlement de la souveraineté des Etats.

La technique du financier consiste à doter ses organisations
philanthropiques de liquidités financières généreuses auprès de la
population et susceptibles de déchaîner des mouvements sociaux pour
entraîner la chute d’un gouvernement trop enclin à maintenir une
« société fermée » aux principes de la mondialisation sans frein.

Toute nation qui rejette la mondialisation (c’est-à-dire
l’impérialisme du libre-échange) est condamnée et fera l’objet
d’attaques de la part des organisations de Soros.

Dans la situation de crise actuelle, tout Etat-nation qui
refusera les solutions de l’élite impériale, c’est-à-dire de
l’establishment, subira sa loi.

Traduction : la crise prendra de l’ampleur !

Qui se souvient de ce qu’exprimait l’honorable Tony Blair, en
septembre 2005, dans un discours devant le Sommet mondial de l’ONU :

« A l’occasion de ce sommet, pour la première fois, nous nous
mettons d’accord sur le principe que les Etats n’ont pas le droit de
faire ce qu’ils veulent au sein de leurs propres frontières,
mais que nous, au nom de l’humanité, avons le devoir commun de
protéger les peuples là où leur gouvernement refuse de le
faire ».

N’est-ce pas clair ?


Comme la France est déjà dans le collimateur de ce groupe de
pervers, il serait regrettable de négliger les expériences menées
par les banquiers internationaux au sein de pays plus faibles,
comme aujourd’hui l’Ukraine.


L’Ukraine dans le collimateur du cartel bancaire

Mi-décembre 2008, H. Kissinger, le mentor de McCain durant la dernière
campagne présidentielle américaine, s’est rendu en Russie pour y
rencontrer les éminences grises du pouvoir russe...

Qui donc Kissinger représentait-il en Russie, puisque son « poulain »
a échoué ?

En réalité, rien n’a filtré sur ce voyage discret.

En novembre 2008, le Premier ministre ukrainien Julia Timochenko,
ex-alliée de Iouchtchenko dans la « Révolution orange » [financée
par G. Soros/CIA], a secrètement rencontré George Soros à Kiev.

Quelques jours après, G. Soros/CIA lançait une attaque massive
contre la monnaie nationale ukrainienne, la hryvnia.

Cette information n’est pas confidentielle puisque Viktor Baloga, le
chef de l’administration présidentielle ukrainienne, vient de
s’exprimer comme suit :

« Le Premier ministre fait comme si ni son gouvernement ni elle-même
n’avaient pas quelque chose à voir avec l’effondrement de la
monnaie nationale. Pourtant, la première vague de la baisse du cours
de la hryvnia a justement eu lieu après les négociations secrètes
de Mme Timochenko avec George Soros, le spéculateur financier
connu ».


Finalement, quand les principaux secteurs exportateurs de l’Ukraine
(acier et produits chimiques) s’effondrèrent, le gouvernement
s’est tourné vers le FMI afin d’obtenir un prêt de 16,5
milliards de dollars pour éviter une cessation de paiements.

Selon le magazine britannique The Economist, cette somme devrait
servir avant tout à rembourser les dettes des banques
ukrainiennes vis-à-vis des créanciers internationaux.

D’après des sources ukrainiennes, en contrepartie de ce prêt, le
gouvernement accepta d’engager le groupe Blackstone comme
consultant, groupe qui appartient à George Soros/CIA…

Dans le même temps, Poutine annonce que l’ère du gaz bon marché
est révolue. La Russie n’acceptera jamais une chute durable
des cours du pétrole et encore moins du gaz.

Derrière le conflit du gaz, quelque chose de bien plus grave est en
gestation.

Il peut sembler paradoxal que G. Soros, l’un des hommes de main
du « cartel bancaire » et de la CIA, s’en prenne directement à l’Ukraine
après avoir favorisé la « révolution orange ».

Pourquoi donc, aujourd’hui, les banquiers internationaux
cherchent-ils à faire tomber les pays du bloc de l’Est, ex-membres
de l’ex-URSS ?

N’y aurait-il pas une volonté secrète de désintégrer l’EUROPE elle-même ?

Au cours des trois prochaines années, assisterons-nous à une
IMPLOSION de l’Europe, posee par la CIA ?

Rappelons que l’Europe de l’Ouest sera la principale victime de
l’effondrement du crédit des pays de l’Est !

En outre, un piège d’une perfidie inouïe est actuellement tendu
aux Européens de l’Ouest. On charge la mule de dettes en
leur expliquant qu’il n’existe pas d’autres solutions et que
cela ne nous coûtera rien, mais l’on se garde bien de nous
avertir que c’est l’inflation qui détruira les économies à cause des
« soins palliatifs » usités avec excès....
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(1) George Soros/CIA n’a jamais agi seul dans ses opérations,
sachant que son intérêt premier a toujours consisté à tirer son
épingle du jeu face à ses sponsors.

Une décennie avant de lancer l’Open Society Fund, Soros quitte
son poste chez Arnhold and S. Blechroeder Inc., lequel lui offre
les fonds de départ pour créer le Quantum Fund NV, un fonds
off-shore qui gère, en 2001, entre 11 et 14 milliards de dollars.

Pour information, Arnhold and S. Blechroeder Inc. représentait les
intérêts des Rothschild à l’époque du chancelier allemand Bismarck.

Le Quantum Fund et le Soros Fund Management servent de sources de
financement pour les projets internationaux. Soros a choisi de créer son
fonds dans les Antilles néerlandaises, un protectorat de la monarchie
des Pays-Bas, et d’exclure tout Américain du
Conseild’administration et d’investissements du fond, afin d’échapper
aux regards des autorités américaines, ainsi qu’aux régulations et
aux impôts américains.
Tout en demandant de la transparence chez les autres, bien
évidemment.

Soros s’est tellement efforcé de contourner les lois américaines
qu’il ne siège même pas au Conseil de son propre fonds, mais
sert officiellement de « conseiller aux investissements » par le
biais du Soros CIA Fund Management, sis à New York.

Par contre, les investisseurs et le Conseil du Quantum Fund
abondent en financiers britanniques, italiens et suisses, la Reine
Elisabeth II détenant une position spéciale sur la liste des clients.