LIESI : FIN FEVRIER/1 MARS 2009 (Dans son intro, LIESI cite le GEAB)
Objectif de cette crise : imposer le Nouvel Ordre Mondial....ainsi que
d'autres objectifs...directement lies aux problemes internes de la "democratie"
americaine....pour eviter des problemes qui rappellent les annees R. Reagan...
Aujourd’hui, les auteurs d’une lettre confidentielle très prisée dans la
sphère financière européenne, mais que nous ne citerons pas pour ne
gêner personne, affirment que la crise actuelle n’a pas été générée par
ce que LIESI a appelé un « assèchement de liquidités ».
Les auteurs de cette même lettre ont attendu bien des années pour
conseiller d’investir dans le métal précieux, pourtant quasi unique
bouée de sauvetage dans la conjoncture imposée.
Bien évidemment, les auteurs de cette lettre confidentielle n’ont pas
encore compris que la crise actuelle a été chirurgicalement préparée et
exécutée pour imposer un Nouvel Ordre Mondial.
Ils se trompent dans leur analyse parce qu’ils ne veulent pas voir la
réalité des choses : l’existence d’un Pouvoir occulte.
LIESI a obtenu des informations suffisamment importantes pour en faire
état dès ce numéro.
Etant donné les fonctions exercées par la source à l’origine de ces
renseignements, nous lui avons promis de garantir son anonymat.
Ses informations confirment notre analyse d’origine sur cette crise et
l’évidence d’un complot engagé par ces mêmes familles oligarchiques qui
ont conspiré sur l’île de Jekyll pour imposer la création d’une Banque
centrale américaine, en décembre 1913.
Une banque centrale privée où l’Etat fédéral n’a aucun droit de regard.
Une banque centrale contrôlée par quelques familles, les plus puissantes
au monde.
Cela est un fait d’histoire bien dérangeant pour tous ceux qui refusent
de se rendre à l’évidence : le projet de Nouvel Ordre Mondial a une
dimension mystique où l’occulte tient une place de choix.
Ceux qui nient cette évidence factuelle ne comprendront jamais la
logique avec laquelle les événements vont s’enchaîner jusqu’à la ruine
générale et la fouille de leur domicile à un certain moment de notre
histoire.
Refusant de voir la vérité en face, ils sont incapables d’accepter
l’évidence selon laquelle, par exemple, il est maintenant devenu
impératif de renforcer la défense immunitaire de leurs proches avant que
des centaines de millions de personnes meurent « noires comme du charbon ».
Aujourd’hui, les auteurs d’une lettre confidentielle très prisée dans la
sphère financière européenne, mais que nous ne citerons pas pour ne
gêner personne, affirment que la crise actuelle n’a pas été générée par
ce que LIESI a appelé un « assèchement de liquidités ».
Les auteurs de cette même lettre ont attendu bien des années pour
conseiller d’investir dans le métal précieux, pourtant quasi unique
bouée de sauvetage dans la conjoncture imposée.
Bien évidemment, les auteurs de cette lettre confidentielle n’ont pas
encore compris que la crise actuelle a été chirurgicalement préparée et
exécutée pour imposer un Nouvel Ordre Mondial.
Ils se trompent dans leur analyse parce qu’ils ne veulent pas voir la
réalité des choses : l’existence d’un Pouvoir occulte.
LIESI a obtenu des informations suffisamment importantes pour en faire
état dès ce numéro.
Etant donné les fonctions exercées par la source à l’origine de ces
renseignements, nous lui avons promis de garantir son anonymat.
Ses informations confirment notre analyse d’origine sur cette crise et
l’évidence d’un complot engagé par ces mêmes familles oligarchiques qui
ont conspiré sur l’île de Jekyll pour imposer la création d’une Banque
centrale américaine, en décembre 1913.
Une banque centrale privée où l’Etat fédéral n’a aucun droit de regard.
Une banque centrale contrôlée par quelques familles, les plus puissantes
au monde.
Cela est un fait d’histoire bien dérangeant pour tous ceux qui refusent
de se rendre à l’évidence : le projet de Nouvel Ordre Mondial a une
dimension mystique où l’occulte tient une place de choix.
Ceux qui nient cette évidence factuelle ne comprendront jamais la
logique avec laquelle les événements vont s’enchaîner jusqu’à la ruine
générale et la fouille de leur domicile à un certain moment de notre
histoire.
Refusant de voir la vérité en face, ils sont incapables d’accepter
l’évidence selon laquelle, par exemple, il est maintenant devenu
impératif de renforcer la défense immunitaire de leurs proches avant que
des centaines de millions de personnes meurent « noires comme du charbon ».
Le cartel bancaire prépare la prochaine étape de son scénario
Depuis de nombreux mois maintenant, les experts, prix Nobel,
politiciens, etc., expliquent en voulant rassurer les électeurs, que
l’impression du papier est la solution à tous les problèmes actuels.
Mi-février 2009, le gouverneur de la Banque d’Angleterre annonce que
l’on va appliquer une politique « d’assouplissement quantitatif » pour
relancer l’économie du pays. Traduction : ils vont inonder le pays de «
papier ».
Mais que font tous ces érudits de l’économie et de la finance depuis
mi-2007 ?
Ils ont déversé des sommes phénoménales dans l’économie pour relancer
l’économie.
Depuis, le chômage ne cesse de croître.
Partout dans le monde, la pompe à monnaie explose littéralement.
Tous ces gens font exactement ce que LIESI a annoncé ; tous ces gens
font exactement ce que le cartel bancaire attend d’eux. Ils placent les
prochaines dynamites dans le système : ils vont récolter de l’inflation,
voire de l’hyperinflation.
Voilà pourquoi le cartel bancaire prépare un assèchement du marché des
principaux métaux précieux que sont l’or et l’argent métal...
Quand cela arrivera, de grandes multinationales de l’assurance-vie
seront probablement rayées de la cote des bourses d’actions mobilières
ou rachetées par un groupe de financiers « anonymes » via un consortium
géant.
Au lieu de créer de l’argent à partir de rien pour financer des
cadavres, et de créer ensuite des obligations d’Etat pour financer des
emprunts qui ne serviront à RIEN, il serait plus intelligent de
dynamiter les imprimantes couleurs des banques centrales et d’attirer
l’épargne vers l’économie REELLE.
Cela nous permet de rappeler ce que nous avions dit au sujet des Caisses
d’Epargne.
Les regroupements ne sont que de la poudre aux yeux. L’on a dit que la
Caisse des Dépôts et Consignations (CDC) garantirait les livrets
Ecureuils, mais la CDC ne vient-elle pas d’annoncer son premier déficit
depuis... sa création en 1816 ?
Rappelons que la CDC joue un rôle important dans le financement du
logement social à travers sa mission de centralisation des ressources du
Livret A...
Depuis de nombreux mois maintenant, les experts, prix Nobel,
politiciens, etc., expliquent en voulant rassurer les électeurs, que
l’impression du papier est la solution à tous les problèmes actuels.
Mi-février 2009, le gouverneur de la Banque d’Angleterre annonce que
l’on va appliquer une politique « d’assouplissement quantitatif » pour
relancer l’économie du pays. Traduction : ils vont inonder le pays de «
papier ».
Mais que font tous ces érudits de l’économie et de la finance depuis
mi-2007 ?
Ils ont déversé des sommes phénoménales dans l’économie pour relancer
l’économie.
Depuis, le chômage ne cesse de croître.
Partout dans le monde, la pompe à monnaie explose littéralement.
Tous ces gens font exactement ce que LIESI a annoncé ; tous ces gens
font exactement ce que le cartel bancaire attend d’eux. Ils placent les
prochaines dynamites dans le système : ils vont récolter de l’inflation,
voire de l’hyperinflation.
Voilà pourquoi le cartel bancaire prépare un assèchement du marché des
principaux métaux précieux que sont l’or et l’argent métal...
Quand cela arrivera, de grandes multinationales de l’assurance-vie
seront probablement rayées de la cote des bourses d’actions mobilières
ou rachetées par un groupe de financiers « anonymes » via un consortium
géant.
Au lieu de créer de l’argent à partir de rien pour financer des
cadavres, et de créer ensuite des obligations d’Etat pour financer des
emprunts qui ne serviront à RIEN, il serait plus intelligent de
dynamiter les imprimantes couleurs des banques centrales et d’attirer
l’épargne vers l’économie REELLE.
Cela nous permet de rappeler ce que nous avions dit au sujet des Caisses
d’Epargne.
Les regroupements ne sont que de la poudre aux yeux. L’on a dit que la
Caisse des Dépôts et Consignations (CDC) garantirait les livrets
Ecureuils, mais la CDC ne vient-elle pas d’annoncer son premier déficit
depuis... sa création en 1816 ?
Rappelons que la CDC joue un rôle important dans le financement du
logement social à travers sa mission de centralisation des ressources du
Livret A...
Une crise d’assèchement du crédit chirurgicalement opérée
Au cours de l’été 2008, une réunion ultra-secrète des membres du cartel
bancaire, constituant les « Sages du Nouvel Ordre Mondial », a été
organisée.
Ses membres sont ensuite passés à l’action, dès septembre 2008, avec
certains amis « choisis ».
En tout, une cinquantaine de milliardaires ont ordonné le transfert
électronique de capitaux inscrits sur des comptes bancaires de banques
américaines (1), vers des « endroits très sécurisés ».
La somme colossale de 550 milliards de dollars fut retirée des banques
américaines en une heure et demie.
Autre point important : cette opération du « cartel bancaire » fut
exécutée secrètement, sans prévenir les autorités de la Banque centrale
américaine.
La synchronisation de cette opération secrète confirme le fait que la
crise déclenchée suit une programmation méthodique, dont les étapes se
succèdent les unes aux autres jusqu’à un dénouement déjà fixé.
La soudaineté de ces retraits massifs a, bien évidemment, provoqué une
panique réelle dans les semaines qui suivirent.
Maintenant, regardez l’évolution de toutes les places financières
américaines et étrangères après le mois de septembre 2008 : ce fut une
chute verticale...
Les banques étaient à la recherche de liquidités et les gouvernements
sont ensuite intervenus auprès des banques centrales.
Cette opération secrète du cartel bancaire a, bien sûr, donné lieu à
certaines conclusions.
Ce groupe de milliardaires a montré qu’il avait la possibilité de
choisir les banques qu’il veut voir tomber.
C’est ainsi qu’ils ont provoqué l’effondrement de la banque britannique
Northern Rock, contraignant de fait la Banque d’Angleterre à une
nationalisation.
Les autorités britanniques ont cherché à sauver la banque de la faillite
et éviter la ruine de toutes les familles possédant un compte dans cette
institution bancaire.
Imaginez un scénario répété ici ou là, provoquant un effet domino de
faillites de banques...
Rappelons que le contribuable français n’a pas encore fini de payer le
trou du Crédit Lyonnais, autrefois dirigé par J.-C. Trichet.
Autrement dit, les retraits de quelques gros clients ont suffi pour
provoquer de nombreuses files de clients aux abois devant les agences
des banques concernées.
En cette fin de mois de février 2009, une autre opération de liquidation
massive est de nouveau engagée par ce groupe de milliardaires.
Cette fois, ce sont des milliards d’actions liquidées sur les marchés...
Cette information semble confirmer l’avertissement donné à LIESI, il y a
déjà six mois, par une source bancaire de haut niveau, selon quoi le
mois de mars serait très « chaud » pour les marchés de devises et des
actions.
Trois banques semblent être dans le collimateur des « parrains » du
cartel bancaire : Bank of America, Citigroup et Citibank.
Pour information : en quelques mois, la capitalisation de Citigroup a
fondu de 250 milliards de dollars à moins de 10 milliards de dollars (2).
Avec cette nouvelle opération du cartel bancaire, les banquiers centraux
sont encore plus aux abois !
Interrogée sur le fondement de ces informations de première main, notre
source a répondu : « Retirez votre argent des banques en difficulté. Le
système bancaire global est détruit ; il a passé le point de non-retour.
Ces milliardaires ont déjà choisi les banques qui devront faire faillite.
Ils ont les politiciens dans la poche, lesquels feront ce qu’on leur
dira. Vous verrez que dans un court laps de temps, les entreprises les
plus performantes et ayant des ratios d’endettement très bas, ne
pourront même plus obtenir de crédit pour renouveler du matériel de haut
de gamme »...
(1) Le cash a été obtenu après la vente d’une quantité phénoménale de
bons du Trésor US.
(2) Sans surprise, nous apprenons que le 23 février 2009, les autorités
américaines ont ouvert la porte à la possibilité d’une nationalisation
des banques les plus en difficulté, une éventualité longtemps discutée.
La nationalisation d’une partie du secteur bancaire est une question
intensément débattue aux Etats-Unis ces dernières semaines. « Les
marchés financiers misaient déjà sur cette issue pour les deux banques
dans lesquelles Washington a injecté le plus d’argent, Bank of America
et Citigroup, qui ont reçu chacune 45 milliards de dollars » (Reuters).
Comme par hasard !
Partout, ici ou là, et surtout en Asie, l’inquiétude gagne les
investisseurs quant à la santé du système financier américain, sur fond
de rumeurs de nationalisation des grandes banques
Au cours de l’été 2008, une réunion ultra-secrète des membres du cartel
bancaire, constituant les « Sages du Nouvel Ordre Mondial », a été
organisée.
Ses membres sont ensuite passés à l’action, dès septembre 2008, avec
certains amis « choisis ».
En tout, une cinquantaine de milliardaires ont ordonné le transfert
électronique de capitaux inscrits sur des comptes bancaires de banques
américaines (1), vers des « endroits très sécurisés ».
La somme colossale de 550 milliards de dollars fut retirée des banques
américaines en une heure et demie.
Autre point important : cette opération du « cartel bancaire » fut
exécutée secrètement, sans prévenir les autorités de la Banque centrale
américaine.
La synchronisation de cette opération secrète confirme le fait que la
crise déclenchée suit une programmation méthodique, dont les étapes se
succèdent les unes aux autres jusqu’à un dénouement déjà fixé.
La soudaineté de ces retraits massifs a, bien évidemment, provoqué une
panique réelle dans les semaines qui suivirent.
Maintenant, regardez l’évolution de toutes les places financières
américaines et étrangères après le mois de septembre 2008 : ce fut une
chute verticale...
Les banques étaient à la recherche de liquidités et les gouvernements
sont ensuite intervenus auprès des banques centrales.
Cette opération secrète du cartel bancaire a, bien sûr, donné lieu à
certaines conclusions.
Ce groupe de milliardaires a montré qu’il avait la possibilité de
choisir les banques qu’il veut voir tomber.
C’est ainsi qu’ils ont provoqué l’effondrement de la banque britannique
Northern Rock, contraignant de fait la Banque d’Angleterre à une
nationalisation.
Les autorités britanniques ont cherché à sauver la banque de la faillite
et éviter la ruine de toutes les familles possédant un compte dans cette
institution bancaire.
Imaginez un scénario répété ici ou là, provoquant un effet domino de
faillites de banques...
Rappelons que le contribuable français n’a pas encore fini de payer le
trou du Crédit Lyonnais, autrefois dirigé par J.-C. Trichet.
Autrement dit, les retraits de quelques gros clients ont suffi pour
provoquer de nombreuses files de clients aux abois devant les agences
des banques concernées.
En cette fin de mois de février 2009, une autre opération de liquidation
massive est de nouveau engagée par ce groupe de milliardaires.
Cette fois, ce sont des milliards d’actions liquidées sur les marchés...
Cette information semble confirmer l’avertissement donné à LIESI, il y a
déjà six mois, par une source bancaire de haut niveau, selon quoi le
mois de mars serait très « chaud » pour les marchés de devises et des
actions.
Trois banques semblent être dans le collimateur des « parrains » du
cartel bancaire : Bank of America, Citigroup et Citibank.
Pour information : en quelques mois, la capitalisation de Citigroup a
fondu de 250 milliards de dollars à moins de 10 milliards de dollars (2).
Avec cette nouvelle opération du cartel bancaire, les banquiers centraux
sont encore plus aux abois !
Interrogée sur le fondement de ces informations de première main, notre
source a répondu : « Retirez votre argent des banques en difficulté. Le
système bancaire global est détruit ; il a passé le point de non-retour.
Ces milliardaires ont déjà choisi les banques qui devront faire faillite.
Ils ont les politiciens dans la poche, lesquels feront ce qu’on leur
dira. Vous verrez que dans un court laps de temps, les entreprises les
plus performantes et ayant des ratios d’endettement très bas, ne
pourront même plus obtenir de crédit pour renouveler du matériel de haut
de gamme »...
(1) Le cash a été obtenu après la vente d’une quantité phénoménale de
bons du Trésor US.
(2) Sans surprise, nous apprenons que le 23 février 2009, les autorités
américaines ont ouvert la porte à la possibilité d’une nationalisation
des banques les plus en difficulté, une éventualité longtemps discutée.
La nationalisation d’une partie du secteur bancaire est une question
intensément débattue aux Etats-Unis ces dernières semaines. « Les
marchés financiers misaient déjà sur cette issue pour les deux banques
dans lesquelles Washington a injecté le plus d’argent, Bank of America
et Citigroup, qui ont reçu chacune 45 milliards de dollars » (Reuters).
Comme par hasard !
Partout, ici ou là, et surtout en Asie, l’inquiétude gagne les
investisseurs quant à la santé du système financier américain, sur fond
de rumeurs de nationalisation des grandes banques
John Paulson gère un fonds spéculatif appelé Paulson Credit
Opportunities II.
Ouvert à la souscription début 2007, avec 130 millions de dollars de
collecte, ce fonds a été créé en fonction d’un scénario un peu spécial.
Il était composé de produits financiers spéculatifs dont le cours ne
pouvait progresser que si le scénario d’un krach sur le marché
immobilier des subprimes américains se produisait...
Un an plus tard, les 130 millions de dollars sont devenus 3,2 milliards
! Le magazine Trader Monthly – le Mensuel du Courtier –, écrit : « La
position de Paulson sur les subprimes n'était pas seulement le trade de
l'année. Il pourrait très bien s'agir du plus gros coup de tous les
temps ».
En tout, Paulson avait créé quatre fonds semblables à celui que nous
venons d’évoquer. « Ils ont commencé l'année [2007] avec 1 milliard de
dollars », écrit Trader Monthly ; « à la fin de l'année [toujours 2007,
NDLR], ce quartet de fonds capitalisait environ 9 milliards de dollars
». Pour information, John Paulson gère une douzaine de fonds spéculatif
par l’intermédiaire de sa société Paulson & Co.
Leurs encours combinés sont passés de 7 milliards début 2007 à quatre
fois plus à la fin de l'année.
Dans la foulée, John Paulson et ses « associés » ont empoché la
bagatelle de 3 milliards de commissions. Le New York Daily Post précise
que Paulson, pris dans un élan de charité, aurait donné 15 millions de
dollars à une association qui aide ceux dont le bien immobilier a été saisi.
Là où les choses deviennent intéressantes, c’est lorsqu’on apprend
qu’Alan Greenspan a rejoint il y a quelques semaines le fonds spéculatif
très performant.
Rappelons que Greenspan est l’ancien patron de la Banque centrale
américaine (Fed), le salarié des familles oligarchiques qui contrôlent
la Fed et ont imposé le scénario de bulle immobilière afin d’obtenir le
déclenchement de la « grande crise »7 pronostiquée par David Rockefeller
au début des années 1990 : « Nous sommes à la veille d'une
transformation globale. Tout ce dont nous avons besoin est une bonne
crise majeure, et les nations vont accepter le Nouvel Ordre Mondial ».
Avec un cynisme évident, le journal cite John Paulson : « Rares sont
ceux, s'ils existent, qui ont plus d'expérience et de profonde
connaissance des marchés financiers qu'Alan Greenspan ».
Rappelons qu’A. Greenspan a personnellement et incidemment prévenu l’un
des lecteurs de LIESI, en 2004, qu’il fallait se dégager de tous les
titres immobiliers et actions mobilières et investir dans les métaux
précieux...
Ce n’est pas tout : le 27 janvier 2009, la presse financière britannique
révélait que le gestionnaire alternatif américain Paulson & Co
engrangeait un gain d’au moins 270 millions de livres (287 millions
d’euros) au cours des quatre derniers mois en misant sur la baisse du
cours du titre Royal Bank of Scotland (RBS).
Il serait très intéressant de vérifier s’il existe certains liens
familiaux entre l’auteur officiel du Plan Paulson et John Paulson...
Opportunities II.
Ouvert à la souscription début 2007, avec 130 millions de dollars de
collecte, ce fonds a été créé en fonction d’un scénario un peu spécial.
Il était composé de produits financiers spéculatifs dont le cours ne
pouvait progresser que si le scénario d’un krach sur le marché
immobilier des subprimes américains se produisait...
Un an plus tard, les 130 millions de dollars sont devenus 3,2 milliards
! Le magazine Trader Monthly – le Mensuel du Courtier –, écrit : « La
position de Paulson sur les subprimes n'était pas seulement le trade de
l'année. Il pourrait très bien s'agir du plus gros coup de tous les
temps ».
En tout, Paulson avait créé quatre fonds semblables à celui que nous
venons d’évoquer. « Ils ont commencé l'année [2007] avec 1 milliard de
dollars », écrit Trader Monthly ; « à la fin de l'année [toujours 2007,
NDLR], ce quartet de fonds capitalisait environ 9 milliards de dollars
». Pour information, John Paulson gère une douzaine de fonds spéculatif
par l’intermédiaire de sa société Paulson & Co.
Leurs encours combinés sont passés de 7 milliards début 2007 à quatre
fois plus à la fin de l'année.
Dans la foulée, John Paulson et ses « associés » ont empoché la
bagatelle de 3 milliards de commissions. Le New York Daily Post précise
que Paulson, pris dans un élan de charité, aurait donné 15 millions de
dollars à une association qui aide ceux dont le bien immobilier a été saisi.
Là où les choses deviennent intéressantes, c’est lorsqu’on apprend
qu’Alan Greenspan a rejoint il y a quelques semaines le fonds spéculatif
très performant.
Rappelons que Greenspan est l’ancien patron de la Banque centrale
américaine (Fed), le salarié des familles oligarchiques qui contrôlent
la Fed et ont imposé le scénario de bulle immobilière afin d’obtenir le
déclenchement de la « grande crise »7 pronostiquée par David Rockefeller
au début des années 1990 : « Nous sommes à la veille d'une
transformation globale. Tout ce dont nous avons besoin est une bonne
crise majeure, et les nations vont accepter le Nouvel Ordre Mondial ».
Avec un cynisme évident, le journal cite John Paulson : « Rares sont
ceux, s'ils existent, qui ont plus d'expérience et de profonde
connaissance des marchés financiers qu'Alan Greenspan ».
Rappelons qu’A. Greenspan a personnellement et incidemment prévenu l’un
des lecteurs de LIESI, en 2004, qu’il fallait se dégager de tous les
titres immobiliers et actions mobilières et investir dans les métaux
précieux...
Ce n’est pas tout : le 27 janvier 2009, la presse financière britannique
révélait que le gestionnaire alternatif américain Paulson & Co
engrangeait un gain d’au moins 270 millions de livres (287 millions
d’euros) au cours des quatre derniers mois en misant sur la baisse du
cours du titre Royal Bank of Scotland (RBS).
Il serait très intéressant de vérifier s’il existe certains liens
familiaux entre l’auteur officiel du Plan Paulson et John Paulson...